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Un parfum d'autrefois (10)
Datte: 09/05/2020, Catégories: fh, hplusag, couplus, extracon, Inceste / Tabou hotel, init,
... les yeux, à loucher plutôt sur mes nénés. Par contre, les autres femmes me lançaient des regards aussi furibonds que la sollicitude de leurs bonshommes. Mais elles pouvaient être rassurées, ce n’était pas leur mec que je visais. La noce se déroula normalement, sans que j’aie d’autre contact direct et privé avec Rodolphe. Il me présenta sa femme : — Marjorie, Denise, ma cousine. Denise, Marjorie, ma femme désormais. La mariée me sourit mécaniquement, mais ne prêta aucune attention à ma tenue sexy. Pendant tout le repas, mon cousin ne cessa de me regarder à la dérobée, mais sa femme n’y trouva rien à redire car elle-même était très occupée à rire et chahuter avec les garçons d’honneur. L’un d’eux semblait d’ailleurs lui plaire particulièrement. Je m’étais mêlée à une bande de jeunes, cousins cousines et autres copains, et nous nous amusions bruyamment. Après le repas, on dansa, et je fis quelques slows avec un jeune gars de mon âge qui me serrait de près depuis le début de la soirée, et qui profita de la pénombre pour me caresser les seins et peloter assez maladroitement mes fesses. Mais j’étais préoccupée par bien autre chose. La vue de mon cousin, tout beau dans son costume de marié, m’avait émoustillée. Je revivais notre dernier tête-à-tête intime. Je revoyais son sexe en train d’expulser sa semence, et je me remémorais sa promesse de me faire perdre ma virginité. Sans y croire totalement, je souhaitais que cette rencontre soit l’occasion, pour mon cousin, de tenir sa ...
... promesse de me faire devenir une vraie femme. J’en avais marre en effet de devoir protéger ainsi ma « virginité ». D’abord parce que j’avais souvent droit à des colères de la part de certains de mes flirts qui me traitaient d’allumeuse. Certains se contentaient de ma main, de ma bouche ou même de mes seins, mais pas tous. D’autres avaient tenté de détourner le problème en essayant de m’enculer. Mais j’avais aussi refusé cette éventualité, car je pensais qu’étant donné la proximité des deux endroits, je n’étais pas sûre du tout que dans le feu de l’action mon berlingot n’y passe également. D’autant que je connaissais ma faiblesse de caractère lorsque mon corps était en pleine jouissance. C’était aussi la raison pour laquelle ma résolution devenait de moins en moins tenable. Je sentais bien qu’il me fallait ou devenir nonne (et encore !) ou sacrifier mon rêve si je ne profitais pas de cette heureuse circonstance pour obtenir que mon cousin me baise enfin, même si c’était le jour de ses noces. Vers minuit j’eus le bonheur de pouvoir danser avec lui. Comme la piste était fort sombre et que nous avions l’un comme l’autre pas mal bu, il n’y eut aucune gêne entre nous. J’écrasai mes seins contre sa poitrine et mon pubis contre sa braguette. Il me caressa immédiatement les fesses, allant même jusqu’à suivre le sillon de ma raie d’un doigt inquisiteur. L’ensemble dut lui faire de l’effet, car je sentis son érection se développer contre mon ventre. — Tu n’as pas honte de bander pour une ...