1. Un parfum d'autrefois (10)


    Datte: 09/05/2020, Catégories: fh, hplusag, couplus, extracon, Inceste / Tabou hotel, init,

    ... comme tu l’as vu toi-même. Mais,à l’époque je ne savais pas, alors j’ai obéi. Par contre, je ne me suis pas essuyé la main, et ça a séché. Pendant trois jours je ne me suis pas lavée à cet endroit pour garder ce merveilleux cadeau qu’il m’avait fait. — C’est ça, de la jute ?— Oui, c’est ça !— Si tu mets ta « bite » dans ma fente, est-ce que ça giclera comme ça dans moi ?— Ben oui ! Puisque je te dis que c’est comme ça qu’on fait des bébés !— Oui, mais pour faire des bébés faut avoir des poils et tout….— Ben oui !— Donc, maintenant, ça ne risque rien ! dis-je, têtue. Je ne peux pas avoir de bébé ? Alors pourquoi tu ne veux pas essayer avec moi ? Tu ne m’aimes plus ?— Mais si, je t’aime très fort ! Mais ça ne se fait pas ! Et puis ta fente est trop petite, et puis… Et puis, tu m’ennuies avec tes questions. Tu comprendras plus tard ! Je ne peux pas t’expliquer, c’est comme ça !— Mais tu as promis de me dépuceler quand j’aurai des poils ! Tu as juré !— C’est d’accord, j’ai promis ! Dans 3 ou 4 ans, d’accord ? Ce fut notre dernière rencontre intime cette année-là. Inutile de dire qu’après ça je guettais avec encore plus d’impatience l’apparition de ma toison et le développement de mes seins. Mais, pour des raisons qui n’ont aucun intérêt, nous n’avons plus eu l’occasion de nous voir. Et un jour j’ai eu des poils et des seins sans que mon cousin soit là pour le constater. Comme je te l’ai raconté avant, j’ai continué à pratiquer des jeux à caractère sexuel en refusant qu’un homme ...
    ... ne me prenne pour conserver intacte cette promesse faite dans la grange. Enfin, alors que j’avais atteint mes 18 ans, je fus invitée, comme toute la famille, pour le mariage de Rodolphe. C’est avec beaucoup d’émotion que je le revis. L’adolescent était devenu un homme. Il était beau et mon cœur battait très fort quand nous nous sommes chastement embrassés. — Denise ! Qu’est-ce que tu as changé…dit-il en me dévorant des yeux. Tu es très belle, ma cousine ! Je rougis. Je savais bien que mon corps plaisait aux hommes, mais, venant de sa part, le compliment me faisait fondre. D’autant plus que j’avais vu son regard me détailler et s’attarder sur mes formes rondes et fermes. Il faut dire que j’avais un décolleté qui découvrait mes seins à la limite de ce qu’il est possible de faire sans qu’un faux mouvement ne fasse apparaître un mamelon par inadvertance. Comme je n’avais pas besoin de soutien-gorge, je n’en avais pas mis, et avec mon décolleté cela se voyait, car il descendait assez bas pour laisser nu la totalité du sillon qui sépare mes seins. Pour le bas, j’avais mis une minijupe plissée qui faisait ressortir mes rondeurs culières et un string et, lorsque je bougeais un peu trop, le pli de mes fesses apparaissait fugitivement en haut de mes cuisses. J’étais sexy en diable, à l’extrême limite du "pousse-au-viol ". D’ailleurs certains « tontons » se découvraient un soudain intérêt pour la jeunesse. Enfin la mienne en tout cas ! Mais ils avaient tendance à ne pas me regarder dans ...
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