-
Ma tante de 45 ans est sublime (13)
Datte: 10/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... intégralement ma douce Chantal. — Arrête... tu me fais craquer mon neveu adoré. J’approchai ma chaise et je recommençai ce que j’avais entrepris dans la voiture, d’amples caresses à l’intérieur de ses cuisses à la peau de velours. Chantal écarta ses jambes pour mieux savourer le contact de mes mains sur cette partie de son corps à la zone si érogène. Ce ne fut plus une mais deux mains qui survolèrent cette peau si claire. Et je me mis à penser tout en excitant ma tante. Elle m’avait dit que j’étais le meilleur amant qu’elle a jamais connu. Il me fallait ainsi me comporter de la sorte. Etre le champion toutes catégories confondues, celui qu’elle n’oublierait jamais. Il fallait faire vite, être imaginatif pour lui donner une jouissance nouvelle, une situation nouvelle. La cuisine... — Chantal, tu fais des pâtisseries ? — Oui, tout est dans la 1ère porte à droite. — Alors déshabille toi et allonge toi sur la table. — OK chef ! Aussitôt, ma tante se leva pour s’exécuter. Je regardai ses formes apparaitre quand le chemisier disparu, puis la jupe et enfin la culotte. C’est idiot de ressentir cela, mais un pincement au cœur m’arriva de plein fouet quand elle se mit face à moi, nue donc belle à croquer. — Donc je m’allonge sur la table ? — Oui, je mets une nappe pour que tu n’aies pas froid. — Comme il est prévenant mon neveu à moi et comme je fonds devant lui ! Je n’eus qu’une envie, la prendre dans mes bras et me fondre effectivement en elle. Idée stupide et totalement dénuée de ...
... charme voire de mystère. Je saisis une serviette pour lui bander les yeux tout en restant admiratif devant son corps allongé dont les jambes repliées m’offrirent une vue bien alléchante de sa belle intimité, soignée, épilée, lisse aux lèvres éblouissantes de beauté. Un pur régal à cuisiner... Je saisis dans cette fameuse porte un tube de chantilly. Une simple pression et le liquide blanc apparut. — C’est quoi ce bruit Jean ? — Goûte... Je déposai un soupçon sur sa lèvre et Chantal l’avala. — Ah je vois, je deviens la pâtisserie de mon neveu ! — Comme tu comprends vite. J’en mis à l’extrémité de chaque sein. A la place de ses mamelons, un cône blanc comme la neige avait pris leurs places. J’en déposai également sur son sexe, un cône sur le clitoris puis d’autres dispersés sur ses lèvres. — C’est doux... Me dit Chantal avec une voix apaisée. J’avais pris soin de baisser à moitié les volets, ce qui donna une ambiance feutrée. Désormais, il me fallut déguster mon œuvre bien appétissante. J’étalai avec la langue les cônes de chantilly sur sa poitrine. D’un seul coup, Chantal cambra son bassin, poussant un petit cri étouffé. J’englobai ses seins avec mes mains et pratiquai un léchage intensif de la chantilly répandue sur sa poitrine. J’alternai entre ses deux seins fabuleux, l’un comme l’autre désireux de se faire prendre en bouche. — Oh j’aime Jean, c’est doux... Une fois la crème avalée, je pus voir les mamelons de ma tante. Ils furent brillants, dressés vers le plafond et avaient ...