1. Ma tante de 45 ans est sublime (13)


    Datte: 10/05/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... nuque à vous faire chavirer, des épaules à vous faire fondre et des lèvres à vous emmener ... je ne sais où. — Tu prends un café ? — Oui Chantal et sèche tes larmes. — Oui, c’est ridicule de me mettre dans un état pareil. — Tu pourrais très bien m’inviter pendant les vacances pour voir ma copine ? — Non je ne veux pas jouer à ce petit jeu, c’est trop risqué et n’oublie pas que je reste ta tante, tu imagines si quelqu’un apprenait ce que nous faisons ensemble ? — Désolé de parler ainsi, c’est vraiment con que tu sois ma tante. — Et pourquoi donc ? — Parce que j’aurais continué à te voir, je l’ai dit ; on te donne 30 ans ! Tu serais devenu ma compagne et moi ton compagnon. Lui dis-je un brin mélancolique. — Eh oui mais je suis ta tante Jean... et voila ! — Il nous reste encore la journée et la soirée... — Oui mon neveu, je te l’ai dit, cet après-midi je suis à ta disposition tout comme pour la soirée. — Alors on va faire des choses interdites ! — Oui mon neveu chéri, tu vas faire des choses à ta tante que la morale interdit... Tout fut fin prêt pour samedi. Nous avions notre après-midi pour nous et le temps de rentrer, il se fit allègrement 15 heures. Ma tante ainsi que moi-même étions soulagés de par notre conversation. Nous avions convenu de ne pas nous écrire, cela aurait été bien trop risqué, nous nous verrions aux fêtes de famille et si d’aventure l’occasion se présentait, j’irai la voir pour un évènement sérieux. Cette idée de la revoir était pratiquement nulle, mais ...
    ... bon ; on pouvait toujours rêvasser. Nous fûmes sur le retour et ma main vint se poser sur la cuisse de ma tante. Je lui frottai l’intérieur comme des balades passagères, aléatoires. Chantal resta concentrée sur la route mais au gré de mes caresses constantes, ses propres mains sur le volant trahirent le plaisir reçu. Ses doigts fins exercèrent une pression sur ledit volant et le passage des vitesses n’en fut pas moins brutal. — Jean, c’est un truc à avoir un accident. — Ca te plaît on dirait ? — Ouiii évidemment... dit-elle dans un soupir évasif. Ma tante fut délivrée de mon emprise une fois la voiture garée. Elle partit dans la cuisine se faire à nouveau un café. Je me mis assis la voyant s’activer pour y mettre le filtre. Au passage, je contemplai ses jambes, ses mollets. Y avait pas à dire ! Elle était bigrement bien balancée. Elle avait le corps de la femme que je désirais, que j’avais imaginé adolescent. Chantal comprit que je la détaillais de bas en haut et je crus comprendre que cela la flattait de se sentir désirée par son jeune neveu. Histoire de s’amuser, elle tortilla son petit derrière et me jeta un regard coquin. — Ca t’excite ? — Pas du tout ! Ma tante pouffa de rire et se servit son café. Elle se mit face à moi, jambes en tailleur. Je saisis un de ses pieds pour caresser ses orteils si élégants. Ma tante me fixa, la bouche entre-ouverte. Je peaufinai sensuellement son merveilleux mollet, ferme et superbement dessiné. — Tu m’aimes de partout ? — Oui je t’aime ...
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