1. Les toilettes du batiment de mathématiques


    Datte: 10/05/2020, Catégories: hh, jeunes, inconnu, école, toilettes, collection, volupté, intermast, Oral préservati, hdanus, hsodo,

    ... moyenne, il avait les cheveux bruns très courts, les yeux marrons, les traits encore un peu enfantins, une boucle à l’oreille gauche, vêtu à la dernière mode, tout en noir dans un manteau noir. Au moins, il était de mon âge et avait l’air particulièrement avenant. Lui : j’étais un peu en retard. J’entrais dans les toilettes et je vis un mec, jeune, sans doute même âge que moi qui était en train de se laver les mains. Il était assez mignon même s’il ne savait pas s’habiller. Je le déshabillais de la tête au pied et autant que je puisse juger à travers le jean, un paquet rempli et un petit cul sympa. Nous nous regardâmes quelques instants et je lui demandai sans détour « tu attends quelqu’un ? ». Moi : je vis qu’il me dévisageait d’un air interrogateur. Il me demanda si j’attendais quelqu’un. Il avait cet accent gay très prononcé. Je lui répondis par l’affirmative. Il s’approcha vers moi et me prit fermement par la taille. Nous plongions dans le regard de l’un et de l’autre à la recherche d’un désir. Sans plus de manière, il m’embrassa sur la bouche et força mes lèvres pour y faire passer une langue chaude et électrisante. Visiblement, je lui plaisais assez pour entamer une rencontre que je souhaitais le plus sexuel possible. Lui était parfaitement à mon goût. Sans me lâcher, il m’emmena vers une cabine et ferma le loquet. Lui : il était tout tremblant devant moi. Sans doute quelqu’un qui n’avait pas l’habitude. Peut-être même un puceau. Je me passais intérieurement la langue ...
    ... sur les lèvres. Je l’attirai à nouveau vers moi et passai les mains derrière le dos en massant ses fesses à travers le jean. Je l’embrassai goulûment. Nos langues et nos salives se mêlèrent. Il mettait un parfum bon marché mais qui restait agréable. Je sentis ses mains qui ne tardèrent pas à soulever mon polo en stretch noir à la recherche de mon torse et de mon dos. Il ne perdait pas de temps et allait droit au but ce qui n’était pas sans me déplaire. Moi : son agréable odeur envahit mes narines et je désirais son corps, qui semblait à la foi frêle et un peu musclé. Je sentais sa chaleur sur mes mains. Sa peau était douce et soyeuse. Il commença à défaire ma ceinture et mon jean. J’ouvrais le bouton de son pantalon et je le fis glisser vers le bas révélant son sexe déjà tendu. Il ne portait aucun sous-vêtement ! Lui : Je défis les boutons de son jean et je fis apparaître un slip. Il aurait pu ne rien mettre en dessous ! C’est bien plus excitant. Pantalon et sous-vêtement tombèrent sur le sol. Son sexe de bonne taille, pas très épais était érigé prêt à nous donner du plaisir. Il ne s’épilait pas et sa toison était fournie. Je l’enserrais et nos deux sexes se touchèrent. Moi : Je l’embrassais et le frottement ondulant de nos bas ventres me dispensait un plaisir intense. Il me continuait à me malaxer les fesses et me lécha alternativement le cou et les oreilles. Je me mis à la recherche de ses auréoles en soulevant le plus haut possible son polo. Comme j’aurais préféré le lui ...
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