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Les toilettes du batiment de mathématiques
Datte: 10/05/2020, Catégories: hh, jeunes, inconnu, école, toilettes, collection, volupté, intermast, Oral préservati, hdanus, hsodo,
... enlever ! Je sentis ses tétons un peu proéminents et tendus. Je les lui tordais doucement et je les passais rapidement mes index sur leur pointe. Puis il défit ma chemise et souleva mon tricot de corps. Il me mordilla les tétons et je lui effleurais ses cheveux courts, soyeux et brillants. Lui : mon dieu, il avait le tricot de corps de mon père ! Je le soulevai rapidement, et j’atteignis ses glabres tétons pour m’en occuper, à petits coups de dents. Je le masturbais lentement en même temps. Après un instant, je descendis vers son nombril où je ne m’attardai pas. Je me mis à genoux. Je pris sa verge dans la main et je le décalottai. Je le levai la tête et nos regards langoureux se croisèrent. Je sortis la langue et commença à faire le tour de son gland puis du frein tout en le regardant. Je descendis vers les couilles tout en maintenant sa verge fermement. Moi : son regard me transperça. La pointe de sa langue sur mon chibre envoya des ondes de plaisir dans la nuque et sur mon corps. Une de ses mains caressait successivement mes fesses, mes hanches, mes tétons et mon dos. Sa bouche allait et venait sur mon sexe, sa langue stimulait mon gland. Je fermais les yeux et laissait la volupté m’envahir oubliant que nous étions dans des toilettes et que nous pouvions nous faire surprendre à tout moment. Lui : J’adore l’odeur des mâles. La sienne était agréable, pas trop musquée … un peu verte je dirais. Son chibre m’emplissait la bouche et son bassin se balançait au rythme de mes ...
... lèvres et de mes mains. De temps en temps, je m’occupai un peu de moi en me caressant bien que je n’avais pas besoin d’entretenir mon érection. Je me relevai en prenant le chemin inverse sur son corps de la pointe de la langue et j’atteignis ses lèvres. Nous avions le sexe de l’autre dans la main et nous nous masturbâmes rapidement tout en mélangeant nos langues. Moi : son sexe était assez grand et pas très épais. Nos corps échauffés furent collés l’un contre l’autre malgré nos vêtements qui nous gênaient un peu. Nous ne sûmes plus qui masturbait qui. Je me retins car je sentis le plaisir déferler en moi et je ne voulais pas jouir tout de suite. Je le plaquai sur l’autre paroi et je descendis à mon tour vers son sexe en m’arrêtant un instant sur ses auréoles, non sans continuer à le branler. Lui : il me fit un peu mal en mordillant les tétons mais cela m’excita un peu plus et la douleur se transforma rapidement en plaisir. Je sentis ses baisers descendre vers mon pubis. Il était à genoux et avala mon sexe tout d’un coup. Un tremblement parcourut mon échine quand il malaxa mes couilles et une de mes fesses. Ses lèvres et sa main libre enserrèrent ma verge dans un va-et-vient rapide et efficace. Moi : je l’aurais sucé pendant des heures, en variant les caresses buccales et leur rythme. Mais je voulais autre chose. Je voulais qu’il me prenne, là ici, sous la lumière crue des néons, dans une atmosphère qui mêlait le produit chimique et l’urine. Je me relevai et l’embrassai. Je me ...