La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°753)
Datte: 11/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°751) - Enculé par un Sumo - Yang, le sumo, vient de s’installer comme ordonné entre mes jambes, je me cambre tant et plus, je sens son abdomen imposant se poser sur mon fessier relevé. - Bourre-le d’un trait, mon cochon ! ordonne la vielle Dame d’un ton autoritaire. - Et vide toi tes couilles de gros porc ! Je suis dans l’excitation la plus totale, dans l’attente de ce coït bestial imposé. Je bande comme un cerf en rut, en sachant que ma tige enflammée ne me servira à rien, strictement à rien, une fois encore. Je sais aussi, que cette pénétration va être brutale, animale et peut-être douloureuse, mais sûrement jouissive. Mes couilles, elles, servent à quelque chose ! Elles sont empoignées avec force par Yang de ses énormes mains épaisses, il les tire vers lui et les remonte sur mon sillon anal… J’en perds le souffle contraint d’écarter un peu plus encore les cuisses et d’affaisser mon bassin. Deux doigts cherchent mon trou, puis une fois trouver, un gland très épais et brûlant se pose sur celui-ci. Je crois d’ailleurs, jamais n’avoir ressenti, au simple contact anal, un gland humain aussi volumineux, on aurait dit un énorme gode qui se présente à l’entrée de mon anus… Puis une puissante et subite poussée … La pénétration est fulgurante, brutale, bestiale. Sous un tel assaut, mon cul cède, mon corps tout entier ploie, je m’affale de tout mon long sur le dallage de marbre en hurlant ma douleur ...
... autant que mon plaisir. Quel paradoxe ! Ce sublime mélange d’une douleur violente avec en même temps un plaisir inouï de sentir son trou du cul bien rempli, entièrement encombré. La volumineuse et raide bite du sumo est en moi, tout entière et bien profondément plantée dans mon orifice écartelé. Je ne maitrise plus mes geignements, mes gémissements, chaque coup de butoir profond, puissant, me fait râler sinon agoniser de douleur et mille plaisirs mêlés. Le Maître s’est levé, tourne autour de nous, examine la situation de près, parfois se penche ou s’accroupit pour observer cette profonde enculade de plus près, puis il se relève, me contourne et m’assène deux magistrales gifles en m’ordonnant de me taire, de ne pas gémir mon plaisir... - Je ne veux pas t’entendre salope. Tu n’es pas là pour prendre du plaisir, mais uniquement en donner. Si tu en prends, je t’interdis de l’exprimer, tu entends salope. Tu n’es qu’un jouet, un simple objet sexuel fait pour te faire prendre, pour recevoir des bites dans ton cul de catin ! Cette fois-ci, Yang est couché sur moi, il m’écrase, m’étouffe et m’asphyxie littéralement. J’ai 200 kilos sur le dos et sa grosse bite dans le cul, ce corps imposant qui ne bouge presque plus en coït anal profond, hormis ces hanches qui basculent, d’avant en arrière sans cesse, ce gros cul qui se soulève difficilement et qui retombe lourdement sur mon fessier embroché, cette énorme queue qui se rue, qui vient et va et qui me ramone le fion avec une dextérité ...