La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°753)
Datte: 11/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... extraordinaire. Yang me tient, m’assaille, me pénètre, me fornique et me besogne sans cesse, tout en glissant quatre de ses doigts potelés dans ma bouche écartelée. Je bave, cherche ma respiration, contient mes jérémiades et accepte cette bite monstrueuse me dardant, me poignardant, me transperçant, me possédant totalement… - Je vous demande l’autorisation de jouir, Madame la Baronne ! lance soudainement Yang en ralentissant la cadence. - Non pas encore Mon chien, retiens toi, montre nous ton endurance, profite de ce petit cul offert de ce petit chien appartenant à Monsieur le Marquis ! Rétorque la Vieille Dame. Les coups de butoir sont moins soutenus mais plus amples. Ma queue tendue et compressée sous mon abdomen par le poids du sumo me taraudant, je crains moins aussi exploser à tout moment. Je transpire et sue à grosses gouttes, je bave toujours autant avec ces doigts tenus dans mon orifice buccal. Je ne ressemble à rien, défoncé, écrasé, baisé, mes trous écartelés, je ne suis plus qu’un trou sailli, un vide-couilles… - Tiens voilà André, viens ici dire bonjour à Monsieur le Marquis, lance Madame la baronne. J’entraperçois que les pieds nus d’André, sans doute doit-il s’incliner respectueusement devant le Maître. - Mes respects Monsieur le Marquis - Bonjour André ! lui répond le Maître - Madame la Baronne, je venais vous demander si je devais tailler un peu la glycine, les fleurs viennent de faner. - Oui, il faudra les couper, mais avant ça, regarde Yang comme il ...
... encule bien le chien de Monsieur le Marquis. Je suis sûr que tu aimerais être à la place de Yang, répond la vielle Baronne sur un ton des plus pervers. - Oh oui Madame… répond André presque haletant. - Mais tu sais que tu ne le peux pas, tu sais qu’un seul cul t’ai destiné, celui de ta femme Murielle, et seulement le quinze de chaque mois - Oui Madame ! répond-il penaud. - Nous ne sommes pas le quinze aujourd’hui - Non Madame, - Alors dommage pour toi, tu sais que la frustration est excellente pour un soumis de ton espèce. Contente-toi de regarder… C’est beau de les voir forniquer… Allez Yang accélère le rythme et inonde ce cul de ta semence de cochon, je t’y autorise… Juste à ce moment précis, le Maître intervient : - Vous permettez ma chère Edmonde, je voudrai que Yang ne jouisse pas dans l’instant, qu’il se réserve encore un peu ! - Tu as entendu Yang… Les Volontés de Monsieur le Marquis sont sacrées. Retiens-toi encore ! Lance-t-elle autoritairement. Yang venait tout juste de reprendre une infernale cadence, il s’arrête alors et me pénètre par des longs vas et viens beaucoup plus lents. Je sens sa tige raide et juteuse glisser le long de mes parois rectales, jusqu’à buter aux fins fonds de mes entrailles, ses grosses couilles pendantes viennent frapper mes fesses à chaque coup de reins, puis je le sens se retirer presque totalement de mon orifice béant. Tellement obnubilé par ces assauts incessants, je n’ai pas entendu, ce que disait le Maître à Madame la baronne, seule la ...