1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°753)


    Datte: 11/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... suis éreinté. - Il faut que vous mangiez Endymion MDE ! me dit gentiment Murielle, très attentionné elle aussi, mais à mon égard. Surpris, j’ai droit aux sushis de Yang, un vrai délice, et même un petit verre de vin, une production locale. Nous mangeons tous les quatre, silencieusement presque religieusement. Parfois Murielle se lève discrètement et part près des deux Dominants pour voir s’il ne leur manque rien… A peine ai-je le temps de terminer mon assiette, que John, le rustre chauffeur, entre avec grand fracas dans la pièce où nous déjeunions et vient à ma rencontre. Sans un mot, brutalement, il m’attrape par les cheveux, m’extirpe de ma chaise, m’oblige à me relever. Une fois debout, il passe un de ses bras sous ma taille et m’entraine à l’extérieur en bougonnant. - Retour au bercail la catin, nous partons dans dix minutes vient de me dire M’sieur le Marquis, juste le temps pour moi de me vider les couilles dans ton cul de salope ! Je suis paniqué et confus… Je n’ai pas eu le temps de dire au revoir à Madame Murielle, elle qui a été si prévenante avec moi, pire encore je n’ai pas salué respectueusement Madame la baronne. Je suis jeté dans ...
    ... le van à chevaux, couché dans la paille, mains attachées entre elles, derrière mon dos, par un lien serré. - T’as vu ma bite, grosse salope ! John a sorti son sexe de sa braguette et me l’exhibe sous les yeux, il est flasque. - Tu vas la faire grossir avec ta bouche et ensuite tu l’auras dans ton cul de catin. Mais avant ça, je vais t’arroser, j’ai une terrible envie de pisser ! John m’asperge copieusement, un jet dru, odorant, dirigé essentiellement sur mon visage et mes cheveux. - Ouvre la bouche catin ! J’obéis malgré l’écœurement et la fatigue. John se décalotte pour faire tomber les dernières gouttes d’urine. - A genoux salope ! M’ordonne-t-il. Je me redresse en gardant la bouche grande ouverte. Mais juste derrière moi, à cet instant précis, j’entends le Maître dire : - John, fini de jouer ! Nous partons… - De suite M’sieur le Marquis ? - Oui de suite ! - Mais j’n’ai pas eu le temps de le fourrer…. - Une prochaine fois, peut-être John… Reprend le Maître sur un ton ne laissant pas de compromis possible. John dépité, réinstalle son service trois pièces dans son pantalon, puis m’abandonne. Le van redémarre peu après, direction Genève… (A suivre…) 
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