Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (3)
Datte: 26/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... nouvelle arrivante ; sans difficulté, sachant que j’ai pour l’instant omis un détail : si j’ai un sexe de taille normale, et assez épais, j’ai en revanche de très petites mains (et de petits pieds). Je suis donc un bon candidat au fist et j’ai mis mon poing dans un certain nombre de minous... Voilà donc que je me retrouve dans une position rêvée : ma bite passant de bouche en bouche, tandis que mes deux mains s’agitent dans leurs chattes respectives. Un tas de voyeurs ne manquaient rien de la scène : nous étions juste derrière une vitre sans tain, et plusieurs couples se réjouissaient de la vue de ces deux croupes dans lesquelles disparaissaient mes mains ; le spectacle d’une chatte dont ne dépasse qu’un avant-bras est toujours hautement excitant ! Je n’ai que le regret de ne pas avoir, contrairement à un grand nombre des histoires que je relate ici, les photos ou la vidéo de l’évènement. Après cette journée mémorable, nous n’eûmes qu’une seule autre sortie ensemble, toujours au même endroit. Ma motivation n’était plus aussi acharnée qu’auparavant : j’avais en effet fait une rencontre décisive, qui sera l’objet du prochain texte. Et tandis que j’étais en train de baiser Leila, moi assis sur une banquette, elle sur moi, je luis dis « oh oui, vas-y, oh Sarah» ... oui, bien entendu, le prénom de celle qui occupait mes pensées. La réponse fut immédiate et cinglante : une gifle, sous les yeux médusés des autres couples présents, et Leila se leva, me laissant avec la queue en ...
... l’air, et fila au bar du niveau supérieur après s’être rapidement rajustée - sans même prendre le temps de remettre sa culotte, restée sur la banquette. Je me rhabillai, laissai la culotte sur place par inattention, et la rejoignis en haut. Je lui expliquais la raison de mon erreur - je ne suis pas du genre à raconter des salades. Elle se radoucit un peu - après tout, nous n’étions que des sex-friends et jamais il n’y avait eu de tendresse entre nous. Notre séance en club n’était pas tout à fait terminée. Alors que nous allions reprendre nos esprits sur les banquettes, Leila se fit entreprendre par un vieux beau, tempes blanches, visiblement friqué. Elle dansa avec lui et revint m’expliquer qu’elle avait rendez-vous avez lui, plus tard. Quelques jours après, elle m’expliqua qu’on ne se reverrait plus et qu’elle partait vivre en Italie : elle avait mis la main sur un genre de maffieux plein aux as, qui lui promettait une vie de rêve du moment qu’elle se soumettait à ses caprices sexuels. J’ignore aujourd’hui ce qu’elle est devenue... ___________________________ À Besançon, un épilogue inattendu et cocasse de ma période « Leila » ___________________________ Alors que nous ne nous voyons plus avec Leila, déjà partie sous d’autres cieux, je reçus un message de Jacques, le conjoint cinquantenaire d’Aurélie, l’avion de chasse de 19 ans rencontrée précédemment. Il voulait reproduire l’expérience, mais je lui expliquais que Leila avait filé comme une souris attirée par un fromage. Mais je ...