Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (3)
Datte: 26/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... lui fis une autre proposition : dans quelque temps, j’avais prévu un déplacement professionnel à Besançon, leur ville de résidence, et je pourrais peut-être leur rendre visite pour un trio... il m’expliqua (ceci est parfaitement authentique) qu’elle serait alors en pleine révision de ses partiels, que c’était d’accord mais qu’il ne fallait pas que ça soit trop tard. J’avoue que n’importe quelle condition me convenait du moment que je pouvais revoir cette fille fabuleuse. Le jour venu, j’expédiais la réunion (dans un grand établissement de santé, l’un de mes clients) et filai au lieu de rendez-vous. Un détail allait pourtant perturber cette perspective idéale : souffrant du dos en raison des kilomètres de voiture que je faisais à l’époque, je fis l’erreur de prendre un Myolastan avant de reprendre la voiture. Une erreur fatale : le Myolastan et l’érection ne font absolument pas bon ménage et ma soirée en allait être partiellement gâchée. Je retrouve Jacques quelque part en ville, et il me demande de le suivre en voiture jusqu’à leur domicile, un appartement assez chic. Nous montons, et là, la mise en scène est absolument torride : Aurélie est en train de travailler ses devoirs, assise à un petit bureau, dans une tenue qui me fait sortir les yeux de mes orbites. Elle porte des petites chaussures à bride vernies et des socquettes blanches. Une jupette à carreau qui ne cache même pas son absence de culotte. Un petit chemisier blanc en dentelle, pas de soutien-gorge, et ses ...
... cheveux sont nouées avec un élastique pour former une couette années 60. J’ai devant moi une lolita atomique, le fantasme de la moitié de la planète masculine. Jacques m’a précisé le scénario avant notre arrivée : je devais aller lécher Aurélie pendant qu’elle faisait ses devoirs, puis lui intimer d’aller m’attendre dans la chambre pendant que je prendrai une douche, puis je lui demanderai tout ce que je veux qu’elle me fasse, le tout en lui parlant de la façon la plus ordurière possible ; ce dernier point était le souhait de la jeune catin. Parler cru, j’adore, mais le côté ordres n’est pas trop mon truc - cependant, vu les circonstances, je ne comptais pas faire le difficile. Et ce que femme veut... Je passai donc sous le bureau, et posa mes lèvres, puis ma langue sur son sexe serré. Lorsque je la sentis mouiller et pousser des feulements de plaisir, je me redressai (non, je ne me suis pas cogné la tête) et lui donna mes premiers ordres : « - Laisse tes devoirs, petite pute, j’ai envie de me faire lécher le cul. » Elle ne dit pas un mot et se dirigea vers la chambre. Après une douche rapide, quand j’entrai dans la chambre du couple, je les trouvai nus tous les deux, ils se caressaient en m’attendant. Je fis une longue séance de préliminaires à Aurélie, commençant à réaliser que j’avais un petit problème de performance au niveau de mon pénis, qui ne bandait que modérément. Je compris assez rapidement la cause du problème - ce foutu Myolastan - et lorsque Jacques me demanda de ...