1. Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (3)


    Datte: 26/06/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pénétrer sa huitième merveille du Monde, je ne fis pas d’étincelles. Sachant l’effet que pouvait faire cette activité sur moi, je me mis à quatre pattes et demandai à Aurélie : « - Ecarte-moi les fesses et enfonce ta langue dans mon anus ». Jacques regardait la scène avec un air satisfait, mais ne se masturbait pas - il avait, décidément, sans doute un problème d’érection moins temporaire que moi. Je me remis en position de baiser Aurélie, ma queue ayant repris de la raideur sous la caresse de ma main tandis que Aurélie me récurait le petit trou : « - Mets-toi sur le dos, salope, les jambes bien écartées et en l’air, et avec tes deux mains, ouvre-toi l’anus bien à fond ». xhyxzzoc Toujours parfaitement silencieuse (ce point ne m’aidant pas à bander, la notion de femme soumise ne m’excite pas du tout), Aurélie s’exécuta, ses deux immenses jambes écartées à 90 degrés, les pieds en pointe de danseuse, et le cul bien écarté. Je mouillai abondamment la capote que j’avais enfilée, et réussis malgré une bandaison perfectible à enculer la demoiselle, positionné sur le flanc droit et présentant donc mes fesses à Jacques qui était au pied du lit. Là, il fit une chose surprenante : ...
    ... il accompagna les mouvements de mon bassin en appuyant en rythme sur mes fesses. Après cette sodomie, Jacques se mit sur le lit et sur le dos, et dit à Aurélie : « - Ma délicieuse putain, viens te coucher sur le dos, sur moi. » L’instant d’après, Jacques et elle étaient couchés sur le lit, lui dessous, elle dessus. Les deux avaient les jambes écartées. Jacques me demanda de venir la lécher. Sa bite était à quelques millimètres de son vagin, molle. Aujourd’hui, ayant développé ma tendance bi, j’y aurais vu, après sa pression sur mes fesses quand je sodomisais la jeune fille, l’occasion de manger la queue de Jacques en même temps que je boufferais la chatte à peine majeure. Mais l’homme ne m’excitait pas du tout. Je mangeais donc la petite moule en évitant la bite offerte, ce qui, avec le recul, constitua sans doute une déception pour lui. Il y avait donc comme un parfum d’inachevé dans cette soirée, et je ne revis plus mes hôtes. J’en garde un souvenir partagé, celui d’une occasion manquée, mais aussi celui d’une rencontre éblouissante, car Aurélie était une vraie merveille. Que je lui aurais bien ravi, pour tout dire, mais mon futur en aurait été bien chamboulé... A suivre ! 
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