Monique
Datte: 15/05/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
grosseins,
groscul,
entreseins,
facial,
Oral
fsodo,
totalsexe,
portrait,
... oui, je l’aime !— Tu vas pas lui faire mal avec ta grosse queue, hein…— Oh non, je vais juste aller me promener dans ce gros cul, et on va râler de plaisir.— C’est pas lui qui râle, c’est moi.— Ah !… Et qu’est-ce qui te fait râler comme ça ?— Ta grosse queue, quand elle est bien dure.— C’est toi qui l’aimes, alors, ma grosse queue ? Je la prends en main et joue tranquillement avec. — Oui, je l’aime, ta grosse queue et laisse-la tranquille, c’est mon jouet à moi.— J’aimerais bien savoir ce que tu lui veux.— Je veux la sentir dure et puissante sur moi, et que tu me la rentres dedans et viennes me ramoner les entrailles, je veux te la faire vibrer jusqu’à ce qu’elle me crache dessus toute l’envie que tu as de mes fesses et de mes seins… Parce que toi, tu les aimes mon gros cul et mes gros seins ?— Sacrément que j’aime ton cul rond comme…, rond, mou et ferme comme un havre de plaisir, j’aime m’y reposer et j’aime te le pourfendre et me sentir tout dur en train de te le faire chanter et rougir comme un métal en fusion, pendant que mes couilles viennent te le claquer et te faire râler… et tes seins, je ne sais même plus comment le dire tellement j’aime les voir et jouer avec… les tâter, les ballotter, les malaxer, y plonger mon visage ou mon engin tout dur… Je m’approche doucement en lui disant tout ça. Elle écarte un peu les jambes, je me faufile dans l’ouverture et me frotte sur le clito et la fente déjà juteuse… Je la caresse doucement sur tout le corps. Rapidement elle ...
... commence à onduler. Elle sort une main de l’eau chaude et me saisit le sexe fermement à la base. — Hum, c’est bon de te sentir bander ! J’aperçois sur le bord de l’évier un reste de plaquette de beurre. Je trempe trois doigts dedans, les dirige vers son honorable postérieur et commence à caresser son joli petit trou. Elle est très penchée en avant, me tient toujours le sexe, ça lui écarte bien les fesses. D’un coup, après quelques rondes du doigt sur le pourtour, je lui enfonce mon majeur tout entier. Monique ne dit plus rien. Elle me lâche le sexe et s’accroche aux bords de l’évier. Je reste immobile au chaud à l’intérieur. Puis je bouge le doigt. Tout de suite les râles entrent en fonction. Rien ne bouge chez elle. Rien que ces râles qui semblent venir du centre de son corps et qui m’excitent toujours autant. En plus son mari n’est pas là, elle fait moins attention au volume sonore. Je bouge de plus en plus. Le corps continue à onduler. Quelques fois les râles s’arrêtent. Le cul, lui, bouge en permanence. Ma main aussi et donc mon doigt. Quelques contorsions et je reprends du beurre avec l’autre main, je me place derrière elle, j’essaie de passer deux doigts, mais elle bouge trop. Je tartine mon doigt avec l’autre main et tourne, ressort, enfourne. Je lui appuie sur les fesses pour qu’elle se mette pile à la bonne hauteur, prends mon sexe bien beurré, il est dans une forme que je n’ai pas besoin de vous décrire - c’est tellement bon de bander avec un cul qui fait des cercles sous ...