1. Monique


    Datte: 15/05/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail grosseins, groscul, entreseins, facial, Oral fsodo, totalsexe, portrait,

    ... votre nez - et, sans prévenir, j’enlève mon doigt et plante mon dard à la place. D’un seul coup. En entier. Silence. Net. Putain c’est bon ! J’ai l’impression que ça grouille à l’intérieur. Je vois le trou du cul distendu et comme s’il avait deux couilles accrochées. Mon dard est planté à fond. J’y suis peut-être allé un peu fort. Mais c’est bon ! Pourvu que ce soit pareil pour elle. C’est tout chaud, c’est serré, je ne fais rien, j’attends. Je suis comme mâchouillé par des pulsations intérieures. — Putain, c’est bon ! Elle parle comme si elle était essoufflée. — T’aurais pu prévenir, mais c’est bon !— Je ne savais pas quoi te dire : je t’encule ? Puis-je vous sodomiser ?— Ouais, vas-y, encule-moi. Maintenant que tu y es, assume, ou assure, j’sais pas comment te l’dire non plus, mais fous-m’en plein le cul qu’on s’en souvienne ! Ça a fini déformé par les râles qui repartaient. Il faut dire que, fort de ses propos, moi j’avais attaqué la promenade. Je ressors presque jusqu’au bout, j’enfonce jusqu’au bout. Elle reprend les ronds affolants avec son cul. Je m’enfonce, allant jusqu’à lui écarter les fesses pour être sûr d’être au bout du bout, au fond du trou. Et moi aussi je fais des ronds et c’est bon ! Je reste calé à lui écraser les fesses. Moi je suis pas sûr de tenir des heures un truc pareil ! Je me détends au maximum mais putain le plaisir monte, c’est trop super ! Je vais lui caresser les seins et elle aime bien. Elle halète avec des phrases musicales comme si elle ...
    ... pleurait. — Vas-y, lâche tout ! me hurle-t-elle. O.K. c’est parti pour le baroud final. Je reprends ces déplacements si bons, les deux mains aux poignées d’amour et ce coup-là, pas dans le détail mais à fond vraiment en m’accrochant où je peux sur son corps. Le plaisir monte chez moi comme chez elle et on râle, on gueule, on salive tous les deux, et elle bouge, et je remue et enfin j’explose en lui écrasant les fesses encore plus si c’est possible, la bite au maximum dans son trou qu’elle bouge encore et encore. — Putain, j’en peux plus !— Ah mon salaud ! Viens ! Elle me prend par la main, monte l’escalier. On entre dans la salle de bain. Elle se penche sur le lavabo, boit au robinet, se frotte les mains avec du savon et attrape ma pine qui fait moins la maligne que tout à l’heure et me la frotte doucement en la regardant tendrement. Elle me sèche. Se re-savonne les mains, se frotte entre les fesses, re-rinçage. Elle me prend la main, m’amène dans la chambre nuptiale, en joli bordel, et se jette sur le lit, se recroqueville et s’endort avant que je ne me mette à côté d’elle. Là, je sais plus trop quoi faire. Imaginez que son charcutier de mari débarque, elle endormie et moi à poil à côté ! J’essaie de pas m’endormir mais pensez… et je mets un moment à comprendre ce qui m’arrive, j’ai des visions bizarres et des sensations bizarres ! Monique est en soixante-neuf sur moi ! Les visions, c’est sa belle fente et sa belle fourrure et sa main qui frotte à fond son clito. Il a pas eu son ...
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