Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (7) : nouveau « complot » et ultime résistance.
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Je poursuis le récit de mon long et finalement vain combat contre les tentations candaulistes de mon mari Philippe afin que je revienne à mon hypersexualité. Après ce qui s’était passé avec Georges, le concierge, et son fils, dans ce parking, je vivais de plus en plus mal ma situation. Je persistais malgré tout dans ma volonté de refuser de retomber dans mes excès d’avant ma rencontre avec Philippe, et donc d’accéder aux désirs candaulistes de celui-ci. Dans l’impasse. J’étais dans une impasse totale : inactivité en journée, peu de relations sociales du fait de ma réputation et de ma peur de céder aux tentations, un mari adorable, amoureux fou, mais qui ne m’apportait pas tout le plaisir que j’attendais, en tout cas au moment de la pénétration et qui, au surplus, ne cessait de m’encourager à prendre un amant et à satisfaire ses envies candaulistes. J’aurais voulu devenir maire, mais je ne parvenais pas à être enceinte. Heureusement, je ne l’avais pas été à la suite de la séance dans ce sinistre parking avec Georges. En plus, la liaison saphique que j’avais entretenue avec ma masseuse thaïlandaise Agun avait pris fin, celle-ci étant retournée dans son pays, malgré mes prières, car, pour la première fois j’étais tombée amoureuse d’une femme. J’étais dans une impasse complète, au point que c’est l’époque où je me suis à consulter une psychanalyste, auprès de laquelle j’ai appris beaucoup de choses sur mon enfance et le comportement que j’avais eu avec mes parents et qui avait ...
... été pour beaucoup dans mon hypersexualité, que j’essayais maintenant de réprimer à tout prix ; Tout cela désespérait aussi Philippe. Je ne veux pas qu’on puisse penser que celui-ci n’est qu’un pervers, uniquement préoccupé de réaliser avec moi ses fantasmes candaulistes. Certes, ce fantasme est au plus profond de lui-même, il avait fait échouer ses deux précédents couples avec Flavienne et Patricia. Certes encore il avait tout organisé pour me faire tomber pendant ma nuit de noces et n’était que partiellement parvenu à ses fins, puisqu’il avait dû se contenter d’écouter derrière la porte, sans être autorisé à assister à mes ébats avec son témoin et ami Pierre. Les cris de plaisir qu’il avait entendus l’avaient convaincu qu’il ne se trompait pas. Pour mon équilibre mental, pour mon bonheur, je ne pouvais être la femme d’un seul homme. J’avais une libido qu’un seul homme ne pouvait satisfaire, lui en particulier. Cela correspondait en plus à ses envies candaulistes, mais c’est me rendre heureuse, mettre fin à mes frustrations et, on peut le dire, à mes souffrances, c’est ce qui le motivait avant tout. Aujourd’hui, je le remercie de son amour et de son insistance, il a fait mon bonheur et me rend heureuse. Pourtant, après « l’incident Georges », nous étions dans l’impasse totale et nous y sommes restés près de deux ans. J’ai même exigé de Philippe qu’il arrête de me parler de ces choses, y compris pendant nos ébats et nos pratiques sexuelles. Plus que jamais, celles-ci étaient ...