Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (7) : nouveau « complot » et ultime résistance.
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... laissée dire que tu aimais visionner des films X. Tu vas être servie, la soirée ne fait que commencer. Sur l’écran, Philippe et Christine étaient nus. Christine, à genoux, lui taillait une pipe et, d’un air de défi, regardait vers la caméra. Elle savait naturellement que j’étais spectatrice. • Elle ne t’a jamais fait une branlette espagnole, n’est-ce pas ? • Non, Olga a de petits seins, bien fermes, si sensibles, mais ça, elle ne peut pas le faire. Allez Christine, prends tes nichons à pleines mains que je puisse goûter à une branlette espagnole. Christine mit la queue de Philippe entre ses jolis seins bien fermes. Philippe se met donc à faire coulisser son sexe entre les seins de Christine. Elle commence par le branler doucement en faisant glisser sa verge entre ses nénés sur toute sa longueur, puis de plus en plus rapidement. Son sexe gonflait de plus en plus sous ses caresses. Ca le rendait fou. Puis elle avala son sexe, le faisant disparaitre entièrement dans sa gorge. Elle le suça longuement avant de s'empaler sur son sexe dans un râle de plaisir. Mais Philippe voulait se finir entre les gros seins de Christine. Olga était surprise : son homme, si tendre, si soumis avec elle, se comportait avec sa maîtresse comme un macho. Il n’avait aucune préoccupation du plaisir de Christine, ne la caressait pas, n’employait aucun mot tendre, au contraire, il la traitait de pute, de salope, de chienne. Christine n’avait jamais autant utilisé que ce soir sa poitrine de rêve pour ...
... procurer du plaisir à un homme. Plusieurs giclées de foutre vinrent s'écraser sur le visage de Christine. Flavienne s’attendait de ma part à une crise de rage, que je cherche à savoir où cela se passait, pour interrompre les amants, faire du scandale. J’étais jalouse, car j’avais rarement vu Philippe bander autant et avoir autant de plaisir. Mais en même temps, j’étais fière de mon homme, rassurée sur son absence de sentiments. Christine était un objet sexuel pour lui, pas une rivale pour moi. J’aurais voulu être avec eux pour encourager Philippe et donner une leçon à cette petite putain. Je nous imaginais, dans nos jeux SM, que Philippe et moi la flagellions à tour de rôle. Sans aucune gêne vis-à-vis de Flavienne, j’ai commencé à me caresser les seins et le clito, pour calmer mon excitation, ajoutant « C’est beau, ça m’excite » Je me rendais compte que, d’une certaine façon, j’étais, moi aussi en train de devenir candauliste, prenant plaisir à voir mon homme avec une autre femme, dès lors qu’il n’éprouvait aucun sentiment pour elle. J’ai dit ensuite à Philippe que j’avais adoré le spectacle. Je n’étais pas restée pour la suite, où d’autres hommes avaient rejoint les amants, pour baiser Christine devant Philippe et satisfaire ses fantasmes candaulistes. • Je suis heureux mon Olga que tu comprennes et que tu ne m’en veux pas. C’est purement sexuel. Comme j’aimerai que tu te joignes à nous. Que tu gouines Christine devant moi. Que tu mettes ma queue dans sa bouche, dans sa chatte, ...