Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (7) : nouveau « complot » et ultime résistance.
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... amoureux fou de moi, il n’est qu’un homme et finit par céder aux avances de la belle Christine. Philippe a eu l’honnêteté de me le dire, avant que de bonnes âmes ne m’informent. J’étais folle de rage et de jalousie. • Chérie, je t’ai toujours dit que tu étais libre. Libre de prendre un ou des amants. Je t’ais toujours encouragé, car je pense que c’est ce dont tu as besoin. Je voulais te dire qu’en ce qui me concerne, Christine est ma maitresse. • Et moi je n’ai jamais dit que tu es libre, Philippe. Tu es à moi et à personne d’autre ! • Je suis à toi et rien qu’à toi. C’est toi que j’aime, pas elle. Mais avec elle, je découvre un autre monde. La voir s’offrir à des hommes devant moi, j’adore. Même si je rêve que ce soit toi qui m’offre ce plaisir, pas elle. Je ne voulais plus rien entendre. J’avais envie de le tuer. Je me suis jetée sur Philippe, je l’ai giflé, frappé, griffé, puis déshabillé, avant de lui pratiquer une fellation qui a vite abouti à ce qu’il se vide dans ma bouche. Je n’en avais pas fini avec lui et, harnachée de mon gode ceinture le plus long, je l’ai sodomisé sans ménagement, insensible à ses cris de douleur et excitée par ses gémissements de plaisir. Si j’avais pu, je l’aurais marqué au fer rouge pour que Christine sache que Philippe était à moi, à moi seule, ma propriété, mon objet sexuel et que personne ne me le prendrait et ne nous séparerait. Poursuivant son plan, Christine monta d’un cran. Elle fit en sorte que sa liaison soit publique. Elle tenait ...
... Philippe par la main, par l’épaule, l’embrassait fougueusement en public, y compris en présence de Jean, mais cela était dans les pratiques habituelles de ce couple. L’histoire fit le tour de la ville, avec un nouveau scandale à la clé, un peu plus de trois ans après notre fameuse nuit de noces. Comme on me détestait, les commentaires étaient « la putain est cocue, bien fait pour elle », « ils vont bien ensemble ce Philippe et cette Olga », « Il a bien raison de se venger » « Qu’est-ce qu’il attend pour se débarrasser de la putain et la renvoyer dans son pays » J’ai résisté à la tentation d’aller demander des comptes à Christine, d’ajouter le scandale au scandale, d’autant que je ne pouvais savoir quelles seraient mes limites. Christine poursuivit sa manœuvre en mettant dans la boucle Flavienne, l’ancienne compagne de Philippe et qui, seule depuis peu, ne rêvait et ne rêve que d’une chose : reprendre l’homme qu’elle aime et qu’elle regrette d’avoir quitté. Lors d’une soirée, alors que Philippe et Christine avaient disparu, Flavienne vint vers moi et me dit : • Décidément, tu n’es pas digne de lui. Tu devrais disparaître de sa vie, car tu ne sais pas le rendre heureuse. • Tu peux parler, toi tu l’as quitté et aujourd’hui tu regrettes. Moi, je ne le quitterai jamais. Il est à moi, tu entends, salope ? • C’est ce que tu crois ! Suis-moi, tu verras de plus près ce qu’il aime. Nous sommes montées à l’étage, sommes entrées dans une pièce ou était installée une caméra. • Je me suis ...