1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (7) : nouveau « complot » et ultime résistance.


    Datte: 17/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dans son cul. • Hum, je ne suis pas prête encore à aller jusque-là ! Mais j’aurais plaisir à ce que, toi et moi, on s’occupe d’elle dans une séance SM. Je voudrais qu’elle soit fouettée au sang ! • Vicieuse ! Mais elle fera tout ce que je lui demanderai. Fais-moi plaisir, accepte leur invitation pour la crémaillère de la nouvelle maison de Jean et Christine. Ils insistent beaucoup ! L’échec de Jean C’était en fait le dernier étage du plan de Jean et Christine. Il fallait que je vienne chez eux. Ils étaient persuadés que Jean emporterait mes derniers scrupules et rêvaient déjà que tout cela ne se termine par une partie carrée : moi, Jean, Christine et Philippe. Et une apothéose, avec une partouze dont je serai la vedette. Philippe avait dû insister longuement pour que j’accepte. D’une part, même si je voyais différemment sa liaison avec Christine, mon « instinct de propriété » n’avait pas disparu. Je connaissais la réputation du couple, comment se terminaient leur soirées mondaines et surtout que Jean rêvait depuis longtemps de m’accrocher à son tableau de chasse. Une fois de plus, mon mari me livrait dans la gueule du loup. Jean avait été absent lors de notre mariage, alors qu’il aurait tant aimé jouer le rôle de Pierre, celui de mon premier adultère. De guerre lasse, j’ai fini par céder • « Mais je te préviens, ne te fais aucune illusion, ils ne me toucheront ni elle, ni lui ! • Comme je te l’ai toujours dit, tu es libre, mais tu sais ce que je veux pour toi » Ce n’était ...
    ... pas tout. Philippe insista encore pour que je porte une robe qu’il m’avait acheté récemment et que je n’avais encore jamais mise, et pour cause : elle était parfaitement indécente, au point de faire passer la fameuse robe de mon mariage comme celle d’une jeune fille sage. Les bras et les épaules étaient nus, ainsi que le dos. Le décolleté était vertigineux et ne permettait pas le port d’un soutien-gorge. Qui plus la robe mettait aussi en valeur mes jolies jambes, mes cuisses et mon cul. Bref, j’allais faire sensation ! Il y avait beaucoup de monde à cette soirée. Manifestement, la venue des T et la perspective de voir Olga T (enfin) succomber, avait attiré du monde, certains hommes se disant qu’une fois que Jean aurait emporté la forteresse, ils pourraient en profiter à leur tour. Ces gens étaient venus pour partouzer, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute. A défaut d’Olga, il y avait Christine, à qui une dizaine d’amants en une soirée ne faisaient pas peur. Christine et Jean me firent fête : Christine m’embrassa près de la bouche, ses mains s’attardant sur mes seins et mes fesses : • Ma chérie, je suis si heureuse que tu ne m’en veux plus. Je n’ai jamais cherché à te prendre Philippe, il n’aime que toi. J’avoue que je voulais te rendre jalouse. Philippe m’a dit que tu as beaucoup aimé le petit film. • J’ai adoré ça. • J’aimerais tant que tu participes. Tu pourras me faire tout ce que tu aimes, sans tabous, je serai à toi. Pour te dire la vérité, c’est toi que je veux. Je sais ...
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