1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (7) : nouveau « complot » et ultime résistance.


    Datte: 17/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... est d’accord pour, qu’en tant qu’hôtes, nous ayons une priorité. Nous avons toute la nuit devant nous. Nous sommes allés à l’étage. Il y avait deux grandes pièces, où les meubles avaient été retirés, les sols couverts par de magnifiques tapis de Perse. Ces pièces avaient été aménagées pour une partouze. Seuls des coussins apportaient un élément de confort. Sur de petites tables, il y avait des boites de préservatifs et des lubrifiants. Christine fit tomber sa robe. Nue, elle s’approcha de moi, m’offrit ses lèvres. Je répondis à son baiser. • Quand nous serons rassasiées de mâles, je finirai la nuit avec toi. Tu vas enfin connaître ce plaisir dont tu prives stupidement depuis si longtemps. Profites-en bien. Tu vas commencer avec mon Jean, réputé comme un des meilleurs baiseurs de notre ville. Elle prit Philippe par la main et alla vers une des deux immenses pièces, laissant l’autre à Jean et à moi. A ce moment-là, j’étais fatiguée, je ne voulais plus lutter et j’étais prête à me laisser aller. • Olga, je t’ai vue la première fois il y a près de 7 ans, quand Philippe a fait ta connaissance. Depuis ce jour, j’ai envie de toi. Il me prit dans ses bras et nous échangeâmes un long et chaud baiser. Il fit tomber ma robe. J’étais nue, offerte. S’il était passé à l’action tout de suite, il avait partie gagnée. Je voulais être baisée tout de suite, comme la chienne que j’étais à ce moment-là. Au lieu de ça, il se mit à faire de longs préliminaires, me couvrant de caresses et de ...
    ... baisers. Ce n’est pas ça que j’attendais de ce mâle. Il n’avait pas compris que je ne cherchais que du sexe brut, une saillie, sachant que ce serait le début d’une nuit qui me ferait définitivement basculer, vu le nombre de mâles qui attendaient leur tour au rez-de-chaussée. Jean sortit sa queue, une belle pièce, même si elle restait inférieure à celle de beaucoup de mes amants, à commencer par mes deux dernières expériences, avec Pierre puis avec Georges le concierge. • A genoux ! Suce, salope ! Je m'approchai de lui et passa le doigt sur son gland que je sentis frémir. Je m'agenouillais et léchais son gland. Je fis tournoyer ma langue autour de son gland pendant que je lui caressais les couilles. Je lui mordillais légèrement son gland ce qui le fit frémir. Je donnais ensuite des petits coups de langues rapides sur son frein puis autour de sa couronne. Je lui léchais la queue de bas en haut doucement. Je le sentis soupirer de plaisir, prenant appui sur le lit et savourant ma langue frétillante sur sa queue tendue de désir. Je léchais ses couilles et les prit en bouche pour les aspirer et les sucer. Ma langue tournoyait autour de ses boules pendant que je les aspirais d'un mouvement de succion. Je fis à nouveau entrer dans ma bouche son gland et je le pompais. Il gémissait de plus en plus et son corps tremblait. Je continuais à le sucer en jouant avec mes lèvres sur toute la surface de son gland violacé de désir. Je le pris un peu plus en bouche, commençant des mouvements de ...
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