1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (7) : nouveau « complot » et ultime résistance.


    Datte: 17/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... va-et-vient lents et savoureux. Jean était en pleine extase, la tête en arrière, savourant ce plaisir buccal. Je continuai ainsi, accélérant la cadence, désirant le faire jouir intensément. Pendant que je le pompais, je massai ses couilles. Je gobe son engin lentement, remonte et joue avec le gland, m'attarde sur le frein puis redescend alternant les allers-retours plus ou moins rapides. Il semble apprécié si j'en crois le gonflement de son gland et les soupirs qu'il pousse. - Il craqua et finit par jouir dans ma bouche, crachant son fluide dans ma bouche tout en poussant un cri de plaisir. Son sperme chaud frappa le fond de ma gorge et je me fis un plaisir de l'avaler jusqu'à la dernière goutte. C’est à ce moment-là que tout bascule. • Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris, je ne voulais pas jouir si vite, je voulais te prendre. Mais là, il va falloir patienter un peu. J’étais stupéfaite et furieuse. Le mâle à qui on avait voulu m’offrir avait été victime de son excitation et avait fait de l’éjaculation précoce. Il avait joui rapidement dans ma bouche, sans prévenir. Certes, j’aime avaler du foutre, mais à condition que je l’ai décidé et que mon amant ait des réserves pour continuer. Là, ce n’était pas le cas et Jean le partouzeur avait une défaillance inattendue. Il avait fait une « contre-performance » Jamais je n’avais connu ça, y compris avec Philippe. • Attendre, tu plaisantes ? J’attends depuis des années et je tombe sur un éjaculateur précoce, incapable de ...
    ... se retenir alors qu’il s’agissait de me baiser, que je n’attendais que ça ? Je suis désolée, mais comme on dit « l’histoire ne repasse pas les plats ». Je ne serai pas à toi, pas plus qu’à tes invités à qui tu m’as offerte par avance. Ta réputation de baiseur en prend un sacré coup ce soir. Je ramassais ma robe pour la remettre. • Attends, Olga. Ne fais pas ça. Tu me ridiculises devant mes amis. Tu n’es qu’une putain et une allumeuse. Comme je ne me laissais pas attendrir, il changea de méthode. M’attrapant par le bras, il me décocha une violente gifle et me tordit le bras. Il n’y était pas allé avec le dos de la cuillère, un filet de sang coulait de mon nez. Il déchira ma robe et me jeta à terre • Je vais te forcer, salope, tu ne t’en sortiras pas comme ça ! Tu vas t’occuper de moi, pour que je rebande et vite ! Je commençais à le masturber mais je ne pensais qu’à m’en aller. Mon excitation était complétement retombée. Ni lui, ni aucun de ses amis ne m’auraient. Il baissait sa garde, pensant qu’il avait gagné. Je me mis à tordre violement ses couilles. Il hurla de douleur et m’agonit d’injures. Je me précipitais hors de la pièce et entrais dans l’autre chambre pour récupérer Philippe, qui était en train d’enculer Christine. Je le pris par la main : • Désolée de vous interrompre, mais on part et tout de suite. Ne discute pas Philippe, obéis si tu m’aimes ! Philippe comprit qu’il ne devait pas discuter • Que s’est-il passé, dit Christine ? • Demande à ton éjaculateur précoce de ...
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