La révélation
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
couplus,
extracon,
Collègues / Travail
vengeance,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
... demandé. Je veux qu’elle nous voie. Et plus fort : — Nadine, approche. Mets-toi là. Et il désigne une place, sur le lit, près de sa tête. Obéissante, elle s’installe. — Mais tu es habillée ? Enlève-moi tout cela. Quel couple ! Ils doivent être masos. En tout cas, elle obéit, et c’est à poil qu’elle se replace. Elle me regarde avec toujours cet air de défi, comme si elle cherchait à me perturber. En tout cas, celui qui n’est pas dérangé, mais plutôt excité par la présence de sa femme, c’est Laurent, qui donne des coups de reins pour mieux m’envahir. Alors j’oublie cette présence et je me baise avec vigueur sur le pieu tendu. Ma jouissance arrive, et d’un regard je la dédie à la pute de mon mari, surtout que le sien déverse son sperme en moi. Je reste un long moment sur lui jusqu’à ce que sa verge ramollisse et glisse naturellement hors de mon vagin. En bonne salope, je me déplace pour aller nettoyer son sexe de toutes les traces que lui et moi avons abandonnées. Il provoque sa femme : — Elle sait y faire, la petite Clara. Tiens, pour la remercier de bien s’occuper de ton mari, tu vas faire lui faire la même chose. J’ai un mouvement de recul mais il insiste : — Laisse-la faire ; elle est habile. Et je me retrouve allongée à côté de Laurent avec sa femme entre mes cuisses qui recueille religieusement les traînées de sperme. Cette femme n’a donc aucun amour-propre pour se prêter à ce jeu… Si mon mari m’avait demandé de faire la même chose, je l’aurais frappé. En plus, elle ...
... s’applique et ne fait pas que nettoyer. Sa langue qui s’insinue dans mes replis me trouble, et instinctivement je soulève mon bassin, m’aidant des jambes que je replie pour mieux m’appuyer. Décidément, je vire salope de me laisser gouiner par une femme. En plus, c’est ma première expérience homosexuelle. Laurent, lui, n’est pas insensible à ce spectacle et il prend ma main pour la poser sur sa verge déjà en semi-érection. Pendant que je le branle doucement et que sa femme me suce pour m’amener lentement au plaisir, il me susurre à l’oreille : — Et si on faisait comme eux dans le bureau ? La sodomie… Tu pratiques ? À cela aussi, c’est Jean-Marc qui m’a initiée. Il faut dire que j’étais en friche lorsque nous nous sommes connus. Mes copains d’avant ne savaient que jouir, vite fait bien fait. Je pense que si je n’ai pas pu le faire devant mon mari, au moins ce sera une demi-vengeance de le faire devant sa maîtresse. Je hoche la tête. Alors Laurent parle à sa femme : — Laisse sa chatte. Prépare-lui l’anus. Nous allons faire la même chose que toi avec ton amant dans ton bureau. Vraiment, elle se comporte en esclave. Ils doivent avoir un secret, ou bien elle doit avoir bien plus à se faire pardonner qu’un banal cocufiage avec mon mari. Elle glisse vers mon anus qui devient le centre du monde. Le bout de sa langue intrusive arrive à forcer le passage de mon œillet. J’ai du mal à me décontracter, craignant un geste de colère de sa part ; mais non : en parfaite connaisseuse, petit à petit ...