La révélation
Datte: 17/05/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
couplus,
extracon,
Collègues / Travail
vengeance,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
... elle, qui attend à quelques mètres – me l’a assuré et m’a montré les documents. Ainsi, c’est cela, l’attrait du mystère et de la tromperie ? J’ai honte, mais j’attendais cette journée avec impatience. À la maison, c’est service minimum. On parle, mais rien d’important ; et pour ce qui est du sexe, ceinture ! Mais d’une certaine façon, je me prive moi-même. D’habitude, nous faisons l’amour au moins deux à trois fois par semaine. Ce manque participe à mon impatience et c’est d’une main légère que je sonne chez Laurent. Sa femme m’ouvre. Je la toise, heureuse qu’elle connaisse cette humiliation de me recevoir dans sa propre maison. Pas désarçonnée du tout, elle me dévisage, et en connaisseuse regarde ma tenue. Cette fois, je n’ai pas fait dans le discret. J’ai mis tout ce que j’avais de plus sexy. En quittant la maison, bien que je porte une gabardine en prévision d’une averse. C’est du moins ce que j’ai dit à ma mère ; j’ai bien vu qu’elle se retenait de faire une remarque. Et encore, elle ne savait pas quels dessous j’avais choisis. Suprême vengeance : ce sont ceux que Jean-Marc m’a offerts. Soutien-gorge à balconnets et surtout petite culotte dont le prix est inversement proportionnel à la surface de tissu. En montant l’escalier, alors que Nadine me regardait, j’ai sorti de mon sac le résultat d’analyse du labo et je l’ai agité comme un trophée. Je ne me connaissais pas si garce ; mais cela fait du bien. Avec Laurent, nous n’avons pas perdu de temps. Il a tout de suite senti ...
... que j’étais chaude et que j’avais dépassé le stade du remords. C’est moi qui ai mené la danse – juste retour des choses – et je lui ai montré que moi aussi je n’étais pas inexpérimentée. Bien sûr, il avait déjà sous son toit et dans son lit une femme que j’avais vue à l’œuvre avec mon mari, et qu’il me fallait au moins égaler pour le principe. J’ai commencé par le sucer, gobant ses boules et l’astiquant longuement de la main pendant que je l’embouchais le plus loin possible dans ma gorge. Je ne suis pas mauvaise à ce jeu-là, dixit mon mari. Mon cher mari qui m’a aidée à progresser, et ce n’est pas la plus petite de mes vengeances d’en faire profiter le mari de sa maîtresse. Cet homme que je fais gémir et qui guide ma fellation par ses mains sur ma tête. Je suis prête à accueillir sa semence lorsqu’il me repousse et souffle : — Pas encore. Et il s’allonge sur le lit. Je rampe à mon tour pour aller le chevaucher et me posséder sur le bâton raide et humide que ma main guide vers ma grotte. Nous nous embrassons à pleine bouche, puis je me redresse pour commencer la danse d’amour. Il me caresse les seins, encore couleur de miel d’un reste de bronzage d’été. Ses mains flattent mes hanches et remontent pour empoigner chaque mamelon pour le tordre à gémir. Mais une ombre est sur le pas de la porte : c’est Nadine qui regarde. Je stoppe mes mouvements. Laurent me regarde et je luis dis : — Ta femme nous regarde. Il ne semble pas surpris. — Oui, ne t’inquiète pas, c’est moi qui lui ai ...