Petit bourgeois surdosé (1)
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
Gay
... Putain oui, j’ai aimé... mais au fond j’ai davantage aimé l’ambiance, j’ai été peut-être plus excité par les bites en érection, par les sexes en action, par le balancement des boules, par l’écoulement du sperme, par les images viriles des queues triomphantes rentrant dans tous les trous, que par la femme elle-même. Certes, elle est bandante mais ce qui m’a poussé, c’est l’exaltation de la puissance masculine pendant l’accouplement. Et même si cela a été furtif, la main douce et puissant de Florian sur mon sexe ne m’a pas choqué, au contraire, cela m’a plu. A la fin de ce première soirée, quand nous sommes rentrés à l’appart pour dormir et que Vladimir s’est couché à côté de moi, j’avoue avoir été troublé par son corps magnifique et le galbe parfait de ses muscles, surtout dans le bas du dos. Et puis il a eu cette partouze au squat (celle que je rapporte dans le chapitre 6 d’une "bourgeoise remplie au sperme"). Dès que nous sommes arrivés j’ai été perturbé par ces mecs jeunes et vigoureux, sans pudeur aucune, se mettant les couilles à l’air et baisant sans gène devant moi. Et puis il y a eu cette scène quand je me pignolais en regardant Marie-Clotilde ma logeuse, en train de se faire biffler. Je la rapporte telle quelle avec la scène complète (j’en demande pardon à ceux qui l’ont déjà lue dans le chapitre 6 susmentionné). Lucas, le plus lubrique de tous, s’est approché de moi et il a dit : - Toi, j’aimerais voir comment que tu lui pisses dessus. Avec ta gueule de p’tit garçon ...
... bien sage on dirait un mec qui va arroser sa mère... vous trouvez pas les gars ? Deux ou trois mecs ont adhéré tout de suite à cette idée. Un autre a même renchéri : - Ouais, j’suis sûr que c’est sa mère ! J’trouve qu’il lui ressemble vachement le p’tit bourge. - C’est ta mère hein ? Hein ? T’aime bien la baiser ta maman ? - C’est pas ma mère, c’est ma proprio. A ce stade, j’étais mal à l’aise et il y avait de plus en plus de monde à me serrer dont un colosse, appelé Jacques qui m’a lancé : - Tu sais qu’tes aussi bien foutu que ta mère ? J’aime bien les BG avec des culs bien rebondis comme le tien... et puis tout blanc. Et il me mit carrément deux doigts dans la raie du cul, cherchant le trou pour les y enfoncer. Je me suis dégagé un peu vivement. - Et les gars, ça vous dirait quoi si on baiserait (sic) le fils après la mère ? - Non, non... c’est pas ma mère et j’fais pas ça avec des mecs moi ! Alors, Marie-Clotilde, qui s’était gentiment tenue a l’écart absorbé qu’elle était à se faire ramoner le cul et à bouffer une grosse paire de roustons, s’est mêlée de l’affaire. - Ce n’est pas mon fils. Je n’ai pas d"enfants. Mais ça ne m’étonnerait pas que ce soit une petite tarlouze. Je l’ai bien observé. Il se laisse prendre la bite facilement et mate les paquets des autres garçons avec une certaine concupiscence. N’est-ce pas mon petit Jean ? - Mais vous... vous êtes folle... vous êtes dingue de dire des conneries pareilles. Hein Florian ? - C’est vrai Florian ? T’as pas encore mis ...