Petit bourgeois surdosé (1)
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
Gay
... je te jure, si elle revient sans sa nounou, je lui casse le cul encore mieux que celui de la bonne femme. Z’avez vu quel bon p’tit cul il a et comment qu’il nous mate ? J’suis sûr que c’est une bonne pipeuse". J’ai regardé encore les mecs prendre la femme. Jacques est revenu aussi, en me frôlant au passage, main baladeuse, sexe baladeur.... Il a commencé à ressauter la meuf, lentement en lui flanquant de grands coups violents qui ébranlaient là table et faisaient valser les nichons et à chaque fois qu’il appuyait sa bite au fond il me regardait fixement, avec intensité et défi en mode : "tu vois ce que je veux te faire". Mais Florian était pressé, il a pris son tour et la niquée puis je l’ai raccompagné; Dans la bagnole j’interrogeai Florian. - C’est vrai que tu baises avec des mecs ? - Tu te calmes. Moi j’suis pas PD, OK ? Quand j’suis en manque de plan cul, y’ a pas il faut que je nique. Alors s’il y a un mec qui me prête son trou pour que j’me vide les couilles, c’est OK. Mais il me touche pas ! Pas de bisous ou de caresses. Il me donne sa bouche et son cul, je l’insémine et basta. - Ah... d’accord.... et ... c’est comment ? - Ça t’intéresse ? - Non... non... juste pour savoir... - Tu sais, y’a pas de honte. Moi c’est pas mon truc mais je respecte. J’suis sûr que tu aimerais. - Ben qu’est-ce qui te faire dire ça ? Te fous pas de moi ! C’est vrai ce qu’elle a dit Marie-Clotilde que tu mates les bites, même dans les vestiaires, et puis tu te souviens la première fois qu’on ...
... a baisé Marie-Clo ? - Quoi ? - J’tai attrapé la bite pour voir. C’était un test. Un mec qu’est pas PD, il recule. Toi t’as laissé faire... - J’me souviens pas; - Te fous pas de moi ! J’suis sûr que t’aimerais bien qu’on te lime et ce soir si t’avais voulu... mais bon si un jour tu te décides, pas de problème si j’suis en manque j’te déflore. - Trop aimable. Je suis retourné chez moi et ça me trottait dans la tête... Au fond qu’est-ce que je risquais ? Alors je me suis préparé. Je me suis lavé le trou du cul, j’ai pris un tube de gel dans l’appartement de Marie-Clotilde dont j’avais les clefs, laissées dans la voiture et j’y suis retourné, la boule au ventre mais impatient en me disant pendant tout le trajet que je faisais n’importe quoi... que de toute façon, ils auraient les couilles vides à force d’avoir tringlé la femelle... qu’il ne s’occuperaient même pas de moi... bref, le destin déciderait... Il faisait nuit noire. Je me suis dirigé à l’aide de la lampe de mon portable. La pièce où Marie-Clotilde se faisait baiser était vide mais celle d’à côté ne l’était pas. Il en parvenait des voix. J’y suis entré. Ils étaient quatre, dont Jacques, tous à poil et en rangers (pourquoi remettent-ils leurs godasses ?). - Elle est où ma taulière ? -Tiens, tiens, revenu ? Hmmm. Tu d’vais pas la reprendre que ce demain matin? - Si, si... Si tu veux la rebaiser, tu vas devoir attendre un peu. Elle était claquée. Elle est partie se reposer sous une tente.... enfin vu comment qu’elle est ...