Petit bourgeois surdosé (1)
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
Gay
... ton gros zizi dans le joli p’tit cul du p’tit jeune homme? - Allez; Foutez-lui la paix ! Il s’est rien passé entre lui et moi. A reconnu mon pote - OK, OK, tu nous le ramènes dès que tu l’as dépucelé le marmot, D’accord ? - Oui gamin, tu vois, nous quand on n’a pas de femme, on s’encule pour passer le temps. Une chatte d’homme dans le fond, c’est comme un trou de balle d’une putain de meuf. C’est aussi bon pour se vider les couilles, reprit Lucas; Et même que c’est bon de se faire prendre, pas vrai Max que t’aime qu’on te pulvérise ta chatte à merde ! - Ouais, mais pas toi Lucas, t’es un vrai bourrin. Tu fais toujours trop mal confirma le Max en question. - En attendant, vous avez une femme là, repris-je pour changer la conversation qui prenait un tour qui m’inquiétait. - Te bile pas gamine ! on va juste te laisser peinard et s’occuper de ta maman, mais moi j’veux te voir lui juter à la tronche. - S’il n’y a que cela pour vous faire plaisir.... J’ai profité de cette diversion pour recentrer l’action sur ma proprio - Tiens, prends ça salope, ça t’apprendra à raconter des conneries. Quelques garçons m’ont alors félicité. - Beau tir ! - C’est vrai, en plein dans le mille ! - Et les cartouches, c’est du gros calibre ! Elle en est couverte. Ainsi soulagé, je me suis retiré en m’approchant de Florian pour lui glisser tout bas à l’oreille : - Putain, ils sont craignos tes potes là... pour un peu ils m’auraient violé. - Pas violé... t’exagères... mais c’est vrai que tu devrais ...
... essayer avec un mec. J’suis sûr que t’es un bon coup. Je pense qu’à ce moment, si il n’avait pas été occupé par ma proprio, Florian m’aurait fait l’amour... enfin, m’aurait utilisé comme vide-couilles. Je me suis rhabillé et j’ai attendu patiemment dans un coin que le temps passe en pianotant sur mon smartphone. Je me suis éloigné un peu du baisodrome mais j’entendais toujours les cris de la bourgeoise et les rires, commentaires ou grognements des porcs qui la sautaient. Et puis, las d’attendre et l’excitation reprenant après la baisse de pression consécutive à mon éjaculation, je suis revenu. Je suis passé dans la pièce où les mecs qui avaient déjà tiré leur coup ou qui préféraient attendre un peu gisaient sur des matelas tout défoncés et tout crasseux. Celui qui s’appelle Jacques était allongé sur le côté, appuyé sur un coude. Quand je suis passé, il m’a sifflé a passé sa langue sur ses lèvres a empoigné sa grappe et l’a secouée en me dévisageant d’un air peu équivoque. J’en ai été remué. Il faut dire que ce mec est beau, la peau très mate, une barbe de quelques jours, les aisselles et le sexe poilus, très brun, mais le torse épilé qui dégage des pectoraux puissant, une aréole magnifique et le téton pointu, les cheveux longs, les cuisses velus et musclées... un vrai bonheur. Dès que j’ai été dans la pièce ou la bourgeoise se faisait bourrer et où Florian m’attendait, j’ai entendu Jacques dire aux autres mecs et suffisamment haut pour que je l’entende : "Putain la petite pute là , ...