Petit bourgeois surdosé (1)
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
Gay
... accompagnée, j’suis pas sûr du repos. En attendant, détends-toi, fous-toi à poil... C’était un défi. Mais je me suis déshabillé. Alors Jacques s’est levé et s’est approché de moi, en tenant son sexe et en l’agitant? - C’est pas prudent d’être revenu comme ça... T’as plus ton garde du corps. Tu sais, j’me suis bien vidé les couilles dans la meuf mais depuis que t’es parti elles ont eu le temps de refaire le niveau...et j’vais être plus long à juter en plus.... j’suis sûr que t’es revenu pur ça hein ? Tu les veux dans le cul mes couilles ! Et il s’est plaqué contre moi. Il m’a passé un bras autour de la taille et m’a flanqué la main disponible contre le sexe. Je me suis mis à bander tout de suite. Et il m’a roulé une pelle. Il a mis sa main sur mon épaule et a appuyé fermement pour que je plie les genoux. - Suce ! J’ai pris la bite à une main et j’ai approché ma bouche du gland. Évidemment son chibre n’était pas propre. Il sentait la sueur, la pisse et le sperme qui avait séché dans ses poils. Loin de me rebuter, cela m’a enivré. Je l’ai embrassé, suçoté avant de le mettre dans ma bouche pour savourer ma première pipe. A peine avais-je commencé qu’il me saisit la tête avec violence pour forcer le mouvement et enfoncer son pieu jusqu’au fond de ma gorge, presque à m’en faire vomir. - Putain les gaaaars, j’vous avais bien dit que c’était une petite pompeuse. Elle est bonne. Alors les autres mecs se sont approchés, la queue tendue, et je me suis mis à pomper alternativement. ...
... Jacques est passé dans mon dos, s’est accroupi et à commencer à me doigter. - C’est sûr les gars, c’est étroit... Une pucelle ! J’vais te la décapsuler moi ! Allez mets-toi à quatre pattes salope ! Nous sommes allés sur un matelas. J’ai attrapé le gel dans la poche de mon pantalon. - Regardez-moi ça. Elle est chaude, elle a tout prévu. - Vas-y doucement, c’est la première fois. - T’inquiète... j’vais y aller doucement au départ mais après je vais te pulvériser le cul ! Mais bien sûr, il n’en fit rien. A peine avait-il graissé mon trou qu’il y appliqua son gros nœud et força tout de suite le passage. La douleur fut terrible. Je manquai m’évanouir et hurlai pour qu’il se retirât. - Aïe ! Arrête, arrête putain, tu me fais mal, retire-toi ! Mais, sous le coup de la douleur, j’avais cessé de m’appuyer sur mes bras et au lieu de rester en levrette je me retrouvai allongé, Jacques toujours dans mon cul. Comme je ne cessais pas de crier il se mit à gueuler : - Y’a personne pour la faire taire la petite chienne là, bordel. Aussitôt, un mec me prit par les cheveux et me fit tourner la tête vers le côté pour me forcer à avaler le bout de sa bite. Mais comme je continuais à me débattre et à hurler, je reçus une belle baffe et un gros mollard en plein visage. Alors, le cou complètement tordu, la joue écrasée au sol, j’ouvris la bouche pour sucer le bout qui s’y présentait. La douleur était toujours très vive d’autant que Jacques continuait de me ramoner, mais elle s’estompait. Alors, il se ...