1. Décuverte


    Datte: 20/05/2020, Catégories: fh, couple, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, uro, scato, tutu, fsoumisah, fsodoh,

    Cette histoire est peu recommandée aux âmes chastes… Il m’aura fallu un certain temps pour l’admettre, surtout que c’est dit vulgairement, mais en ce qui te concerne, une femme bien baisée est une femme bien enculée ! J’ai développé envers toi une adulation de ton « truducu », de cet endroit serré et étroit, de ce puits profond et long, de cet antre mystérieux et si obscur dans tous les sens du terme. Cette entrée entre deux fesses rondes, ce passage dans le creux d’un sillon, cette porte nue, sans fioriture, abrupte, cette porte me fascine plus « queue » de raison. Je ne sais dire « non » à cet œillet si interdit par des siècles de morale, encore moins quand tu remues de la croupe si lascivement, si impudiquement. Comment le pourrais-je, d’autant que tu connais fort bien mon attirance pour ton endroit défendu. Tu le sais et tu en joues. Tu en jouis même ! Comment pourrais-je d’ailleurs te le reprocher ? Cela ne s’est pas fait en un seul jour ; c’est petit à petit que j’ai exploré cette voie arrière, d’abord du bout de ma langue puis de mes doigts. J’épousais délicatement ta cuvette, guettant tes frémissements, sentant tes fins tressaillements, admirant ta lente dilatation. Toi-même, tu ne savais bien quel parti prendre : fallait-il oser ou repousser ? Tu as laissé faire, abdiquant un peu de ton libre arbitre, t’enfonçant ainsi tout doucement dans une certaine passivité, prélude à ta docilité future. Alors nous avons exploré, toi et moi, cette nouvelle voie. Avec tes ...
    ... propres mots, tu me l’as dit : soumission ou pas, la sodomie est la cerise sur le gâteau, la crème chantilly des glaces et des pâtisseries, cette envie prégnante de se sentir prise de partout, au-dedans, au plus profond, de jouir le plus possible, follement, de se servir de son corps complètement, de ressentir tous les plaisirs, de « combler » l’envie irrésistible de se faire défoncer entièrement ! D’où des mots crus dans ces moments-là, de laisser-aller, d’abolir les frontières, les tabous ! Mais qu’est-ce que c’est bon !!! Un proverbe chinois dit en substance : « Quand la petite rivière rougeoie, alors prends le petit chemin boueux… » C’est une belle image métaphorique sur une réalité nettement plus concrète, mais habillée de la sorte, cette maxime passe assurément mieux que sa stricte traduction dans le langage de tous les jours. Dans notre cas, il faudrait rectifier un peu le tir en : « Prends le chemin escarpé, il procure plus de libertés et de découvertes que le grand fleuve… ». Ça, c’est de moi, je le revendique, même si je suis persuadé que je dois être le millionième à le réinventer. --ooOoo-- Tu te souviens de la toute première fois ? Tu avais envie d’essayer, mais tu ne me le disais pas ouvertement. Déjà, auparavant, mes doigts, tout en douceur, s’étaient aventurés assez loin, tu avais apprécié leurs caresses étranges, tu avais goûté à une sensation particulière, tu t’étais laissée faire, petit à petit, lentement, tout tendrement, tandis que ma langue s’activait sur ton ...
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