1. Décuverte


    Datte: 20/05/2020, Catégories: fh, couple, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, uro, scato, tutu, fsoumisah, fsodoh,

    ... que nous en sommes à présent bien loin. Nous sommes beaucoup plus directs ! À présent, ton rectum est très visité et tu n’es absolument pas contre. Je sais que tu aimes être prise ainsi, ce mélange de domination envers toi, de folie, de perversion. Ton petit trou n’a plus aucun secret pour moi, je l’explore pour un oui ou pour un non. De toute façon, tu ne me dis que rarement non à cet endroit. Et quand tu le dis, c’est plutôt par jeu afin que je te viole par là, tout en jouant les effarouchées outragées. Mais le résultat reste toujours le même :toi et moi en jouissons ! Tu es déjà au lit, moi, je finis diverses petites choses dans le salon. Dehors, il fait doux, c’est dans notre chambre qu’il va faire torride. Déjà nu, j’entre, sexe dressé ; pourquoi s’en cacher ? Tu me fais toujours un effet faramineux, tu le sais et tu en joues. Parfois, je m’en veux de ne pas savoir te résister, mais c’est plus fort que moi. Pourtant, je ne suis plus un ado, ni un jeunot, mais voilà, avec toi, je suis pire qu’un collégien. Tu poses ton livre, ton petit sourire est toujours là, celui de ces instants où nous savons tous les deux ce que sera la suite, même si elle n’est pas très avouable aux chastes oreilles… Nous lutinons, j’embrasse la moindre parcelle nue de ton corps, je te dévore petit à petit, ta peau est si sucrée. Tes bras m’enserrent, tes ongles, tes dents laissent des marques en divers endroits, tu me rends la pareille. Peu après, je me glisse entre tes jambes, je force ton ...
    ... entrée déjà bien humide et vautré sur toi, je coulisse en toi, dans ton vagin si accueillant, mes longs poils se mêlant aux tiens plus courts. Coulisser, pistonner, riper en toi, quel divin plaisir ! Tu oscilles sous mes coups de boutoir, tandis que j’imprime un vaste mouvement de rotation pour mieux entrer en toi, pour mieux explorer tes moindres recoins. C’est si bon ! Puis d’un coup, je me retire, un autre désir en tête ! Impérieux, je lance : — Ton cul ! Tu t’exécutes en te retournant puis en me le tendant. Couvert de cyprine, j’entre sans trop d’effort, l’habitude, sans doute, ou le fait que je sois nettement plus direct. Je me plaque sur tes fesses, agrippant un sein que je torture sous mes doigts crispés de désir. Tu te cabres, fourrageant tes doigts dans les courts poils humides, frôlant des boules gonflées qui ne demandent qu’à exploser en jets visqueux dans ton rectum. Tu grimaces un peu, mais tu aimes. J’avais lu quelque part la phrase suivante :Question douleur, la sodomie c’est comme les impôts : c’est le premier tiers qui est le plus douloureux ! La douleur se mue en sourd plaisir au cours de ce pistonnage sauvage. J’entre et je sors comme si je pinais une chatte humide, mon gland coulissant presque jusqu’à la sortie pour replonger au plus loin. Je te mordille l’oreille, mes doigts s’enfoncent dans la chair tendre de ton sein. Je te veux complètement, dehors et dedans, mon braquemart occupant toute ton intimité arrière. Tu te sens pleinement remplie, comblée, ...
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