1. Décuverte


    Datte: 20/05/2020, Catégories: fh, couple, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, uro, scato, tutu, fsoumisah, fsodoh,

    ... enfoncé jusqu’à faire disparaître en toi mon frein. Nous nous sommes regardés, je t’ai demandé : — Ça va ? Tout va bien, mon amour ?— Oui… ça va… Alors j’ai continué ma progression en toi, la moitié de ma tige s’engouffrant sans trop d’effort en toi. Tu as soufflé, je me suis arrêté. — Non, vas-y, ne t’inquiète pas…— Tu es sûre ?— Oui, mon Doudou, c’est juste que c’est un peu… un peu curieux comme sensation… Tout doucement, étant à mi-chemin, j’ai commencé à coulisser en toi, la sensation était si forte que j’ai dû faire des efforts pour me maîtriser. Ta respiration se saccadait, tes doigts s’activaient de plus belle entre tes lèvres, cherchant, fouillant, caressant, roulant tes chairs roses et humides. Je me sentais parfaitement glisser en toi, dans ton étroit conduit, entre tes parois serrées. J’ai alors décidé d’aller tout au fond, pour tout te prendre ; mentalement, j’ai compté jusqu’à trois : un premier coulissement en toi comme pour me guider, un second qui m’a procuré un certain plaisir diffus, puis un troisième qui n’en a plus fini de s’enfoncer en toi, de glisser sans répit, d’aller au plus lointain, cherchant ce qu’il y avait de plus obscur en toi. Tu as gémi, un long « oooh » de surprise, d’étonnement, de sensation. Puis je suis arrivé au bout de ma course folle, mes chairs collées aux tiennes, nos poils emmêlés, nos peaux moites l’une contre l’autre. Je t’ai regardée intensément, tu as soutenu mon regard, ta bouche toujours arrondie par ton long gémissement. ...
    ... Alors, je t’ai pistonnée, d’abord doucement, lentement, puis de plus en plus vite. Tu murmurais les longs « oui », je te répondais par les mêmes mots plus brefs ; ma tige allait et venait, fondait en toi, remontait, luisante, glissante, puis repartait plus loin encore, comme s’il n’y avait pas de limite, comme si je pouvais m’enfouir plus profondément, fortement. Tes doigts s’agitaient intensément sur ton clitoris en feu. J’allais, je venais, j’étais en toi, dans cet endroit interdit, j’étais heureux, béat, j’en voulais toujours plus, encore plus ! Rivé en toi, piochant en toi, creusant en toi, forant en toi !!! Le temps paraissait suspendu. Tu as crié, ton bassin s’est élevé, s’est tendu, s’est planté plus encore autour de mon pieu incendiaire ; j’ai ressenti comme une décharge, tu t’es complètement laissée aller, t’abandonnant à la double exploration de tes doigts sur ta vulve mouillée, de ma tige coulissant sans relâche dans ton trou tabou… Tu as crié à nouveau, ce long gémissement que je te connaissais pourtant, mais à présent plus bestial, plus primal. Je n’ai pas su résister plus longuement, j’ai alors explosé en toi tandis que tu jouissais comme une petite folle ! Je me souviens que je suis resté un peu en toi, ma tête sur ta poitrine, un téton entre mes lèvres, tandis que tu me caressais les cheveux. Pas besoin de parler, juste sentir l’autre sous sa joue, sur sa peau, sa chaleur, sa douceur, sa moiteur… --ooOoo-- À présent, quand je songe à cette première fois, je me dis ...
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