1. On n'est jamais à l'abri d'une surp


    Datte: 21/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... voulu. J’ai été le premier homme qu’elle a connu. Elle n’aimait pas trop les préliminaires, même si elle s’y laissait aller, pour me faire plaisir, je pense, mais bon ! C’était notre façon de faire. Je n’avais un sexe énorme, environ 16 cm et elle, elle n’était pas franchement du genre à être portée sur l’épilation et ce genre de trucs, mais elle le faisait, par hygiène, même si c’était très conventionnel, sa façon de se faire épiler.Par contre, elle avait un cul magnifique, c’est vrai… Un sexe bandant comme pas possible, un petit abricot, mais comme elle n’était pas très épilation, on zappait souvent les préliminaires. Le reste, elle n’était pas particulièrement coquine, rien de sexuel avec son anus ! Hors de question ! Levrette, oui, on le faisait souvent, missionnaire, trop souvent… Quant à avaler, n’y pensons même pas ! Mais le reste, ça allait, je n’avais pas à me plaindre, je m’y étais habitué.Hormis le fait d’être timide, j’avais un autre gros défaut. Enfin, deux. J’aimais bien boire mon verre, souvent plus que de raison, et l’autre, le pire, celui qui nous a amené à mon histoire, c’est le jeu. J’aimais beaucoup jouer au poker, en ligne ou dans des salles de jeu, parfois de manière clandestine. Et à force de jouer, il arrive qu’on gagne ! Il arrive qu’on perde aussi… Un soir, j’avais joué beaucoup et j’ai perdu pas mal, environ 1500 €. Les mecs avec qui j’avais joué avaient des têtes de taulards, et honnêtement, il ne valait mieux pas ne pas payer… Ils m’avaient ...
    ... clairement fait comprendre qu’ils allaient me « fracasser la gueule », si je ne payais pas dans le mois. J’ai eu la trouille et j’ai dû faire un choix. Soit je payais ma dette, soit je payais notre loyer (550 €). Le hic, c’est que j’allais manquer trois mensualités. Putain ! Pour ce taudis ? Je m’arrangerais avec le proprio’, ce gros porc qui ne passait jamais, de toutes façons ! Je l’avais appelé il y a deux mois pour réparer la douche, et il m’avait envoyé balader ! Hors de question de demander à mes parents ou à ceux de Sophie, ils étaient fauchés, comme nous. Donc, j’ai fait un choix, et j’ai aussi décidé de faire le mort avec le proprio’.Un soir, j’étais seul à l’appart’ (Sophie était partie chez ses parents pour le week-end), on frappe à la porte. C’était le proprio’, Mr. Didier. Une dégaine incroyable. Bourré de fric mais radin avec son personnel et ses locataires, il était très bling-bling. Un gros, genre 1,70m, 120 kg, gras, sentant l’eau de toilette à 10 km. Un air de pervers, Sophie me disait qu’il la mettait mal à l’aise.– Oh ! Bonsoir Mr. Comment allez-vous ?– Ferme-la ! Petit con ! Mon loyer ? Tu crois que ça me plaît de venir jusqu’ici ? Je veux mon fric.– Ah, heu… C’est-à-dire, que voilà, j’allais vous appeler, j’ai un petit problème, je voulais savoir si je pouvais vous payer plus tard ?Il m’a regardé comme si j’étais un clown et m’a clairement fait comprendre qu’il n’avait pas envie de rigoler… J’ai bien été obligé de lui avouer que j’allais pas pouvoir payer ...
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