Qui domine ?
Datte: 21/05/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
profélève,
Collègues / Travail
école,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
sm,
... Combien de temps vais-je pouvoir résister aux appels silencieux de ses courbes provocantes ? Une semaine plus tard, face à face, elle me regarde dans un silence insoutenable, chargé d’une atmosphère électrique. Sa petite jupe laisse apparaître ses jambes bien galbées, sa peau légèrement caramélisée par le soleil exhale une odeur légère et sucrée qui enfle ma narine et d’autres parties de mon corps. Le cours était fini, la salle de classe était vide, nous étions seuls depuis un moment. Elle brise le silence : — « Monsieur, pensez-vous que je doive mouiller davantage ? ». Pardon ? Ai-je vraiment bien entendu ? Mais bien sûr, mouille et mouille encore, je ne rêve que de ça de ta petite chatte étroite et toute trempée ! — « Excusez-moi vous disiez ? »— « Pensez-vous que je doive fouiller davantage ma recherche ? »— « Hum… oui… mais oui, bien sûr vous devez fouiller davantage, un tel sujet est riche en potentialités ». La chaleur me montait à la tête comme dans une étuve, comme si je respirais la moiteur de son intimité ; j’entendais résonner dans mon corps le bruit de sa langue qui claquait en faisant trois petits bonds contre son palais… Plus qu’une semaine avant les examens. Aujourd’hui elle est vêtue d’habits transparents comme des rêves laissant filtrer les courbes envoûtantes de sa poitrine tendre et nubile. Pendant le cours, au milieu d’élèves relativement indifférents, elle écrase ses seins contre la table en se penchant en avant pour que je profite du spectacle. Elle me ...
... présente son corps comme une offrande. En fait, pour la première fois je la sens totalement soumise à mon emprise. Au fur et à mesure que je parle mes paroles la pénètrent et elle semble afficher un visage de suprême contentement. Je la sens fragile, j’ai comme l’impression de pouvoir la manipuler grâce à des fils invisibles. De nouveau, nous nous retrouvons seuls à la fin de l’heure de cours, la classe s’est depuis longtemps vidé de ses occupants habituels. Elle s’approche d’un air timide. Soudain, elle laisse échapper son stylo qui tombe à mes pieds et, avant même que je me baisse pour le ramasser, elle est déjà à genoux, devant moi, m’offrant une vue imprenable sur sa poitrine tentatrice. Elle lève les yeux et m’adresse un sourire inhabituellement carnassier. Le silence s’éternise. Elle ne se relève pas. Nous n’avons encore rien dit ni elle ni moi. Lentement, elle pose avec délicatesse sa main sur l’entrejambe de mon pantalon. Mon sexe est bandé comme un arc. « Monsieur, ça te plait ? » Difficile de dire quelque chose dans ces moments, surtout lorsqu’une jeune fille approche sa bouche accueillante pour y fourrer votre sexe dedans. J’ai envie de lui crier : « grosse cochonne, avale-la toute entière et laisse moi jouir dans ta bouche ! ». C’est qu’elle doit aimer ça. Elle me pompe avec une énergie et une férocité qui contraste avec ses airs habituellement candides. Je vois ma queue flattée par ses lèvres charnues et gourmandes. Sa bouche est encore plus agréable qu’une chatte ...