Qui domine ?
Datte: 21/05/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
profélève,
Collègues / Travail
école,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
sm,
... secrète que je ne peux pas dévoiler ici) ainsi que la feinte de l’émerveillement extatique (« oh oui Monsieur, mais comment faites-vous pour être aussi fort ? »), j’ai décidé de l’achever avec la combinaison gagnante qui permet de dégonder les coffres-forts les mieux verrouillés et de dévergonder les âmes les plus sages. Pourquoi mettre une jupe ? Tout simplement pour lui laisser croire que, comme dans tous les mauvais films, je ne porte pas de petite culotte et qu’il pourrait me prendre sans formalités d’un instant à l’autre. Sinon, je peux toujours le déconcentrer en décroisant les jambes pour lui insuffler l’idée qu’il pourrait en voir davantage. Une semaine avant les examens, il sera à point. Il ne sera pas difficile de mettre la touche finale. Coucher avec lui ? Bien sûr que non, trop compliqué et trop risqué. Il suffira d’une fellation : ce petit porc sera tellement excité que je pourrai le faire couiner de plaisir en un temps record. Comme d’habitude, à 19h30, lorsque le cours se termine je prends tout mon temps afin de pouvoir rester seule avec lui. Etant un vendredi tous les élèves et les professeurs se sont empressés de commencer leur week-end, comme ça pas de dérangement possible à l’horizon. Pendant tout le cours, je l’ai regardé avec une mine timide et soumise comme s’il exerçait sur moi un pouvoir tout puissant. Toujours grâce à l’utilisation d’une technique éculée (faire tomber un stylo), je me retrouve à genoux devant lui, comme soumise. Je ressens nettement ...
... son regard qui se pose sur mon corps : je contrôle parfaitement la situation. Je le fixe droit dans les yeux et je ne peux réprimer un sourire de satisfaction. Il est visiblement mal à l’aise, gêné et dans un état de tension sexuelle extrême, ses fantasmes doivent s’entrechoquer dans le plus grand désordre. Je prends les choses en main au sens propre du terme. Je sors sa queue turgescente et la comprime doucement. À ce moment là il ne pense plus au néo-romantisme, c’est sûr. Par terre et devant lui, je le tiens paradoxalement en mon pouvoir : il ne respire et ne vit qu’au rythme que j’impose à son sexe, délicatement malaxé par mes soins. Je salive abondamment : je ne ferai pas durer son plaisir, il devra cracher son jus le plus vite possible. Je mets sa queue dans ma bouche et l’enserre avec mes lèvres tout en titillant le bout de son gland avec la pointe de ma langue. Il halète comme un petit chiot blessé, comme c’est mignon ! Il n’existe plus que par mes caresses buccales, il gémit quand j’accélère et souffle quand je ralentis. Je le tiens comme s’il était en équilibre sur mon petit doigt, je peux décider maintenant s’il doit jouir. Pour le finir, j’enfonce son sexe au plus profond de ma bouche en aspirant goulûment, puis je réalise cinq ou six mouvement de va-et-vient très rapides comme s’il était en train de pénétrer ma chatte. Effet garanti : je me retire pour le laisser répandre sa semence sur le sol en songeant qu’il en train de vider son cerveau… Résultat : j’ai eu 18 ...