1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°757)


    Datte: 22/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... rapide lavage alors que je m’endormis presque. Puis avec un dernier effort je me tirai par l’échelle dans la mezzanine ou Vous m’attacher aux pieds d’un des lits pour la nuit. Là sans plus autre conscience du monde alentours je m’endormis comme une masse, toujours plugée. Je me réveillai en sursaut. Un peu étonnée, ma première pensée fut que Vous êtes un expert car malgré la correction au fouet d’hier, je ne ressentais quasi aucune douleur. Ensuite un regard par la fenêtre m’indiqua que le soleil n’était pas encore levé, mais que les animaux avaient plus raison que les hommes, la tempête semblait se lever ! Un grésillement retentis et je bondis, c’était la radio, ça devait être ça qui m’a réveillée. Sans me lever complètement, je la pris et baissa le son pour ne pas Vous réveiller. Néanmoins j’écoutais très attentivement. J’appris rapidement que c’était trois cordées (enfin je crois) qui étaient partis faire l’ascension du Mont-Blanc et qui s’étaient fait prendre dans la tempête. Pour une raison que je ne connaissais pas encore, ils leur semblaient impossible de redescendre. Mon cerveau se mit en branle très rapidement. Ma radio était branchée sur les ondes courtes, ça signifiait que les montagnards ne devaient pas être très loin du refuge lequel je me trouvais avec mon Maître. Je me redresse alors à 4 pattes, je Vous vois couché sur le lit, Vous dormez encore. Je ne sais comment réagir. Je ne peux laisser ces hommes dehors surtout que la neige semble continuer à tomber de ...
    ... plus en plus intensément. Et en même temps je ne peux les inviter sans Votre autorisation mais je me refuse de Vous réveiller et je sais que je dois décider vite, sinon ils risqueraient de sortir de la portée des ondes courtes de ma radio. Je me lève, détache ma laisse, attrape la radio et descend d’un étage. Je me mets de l’eau à chauffer, rallume le feu en attendant qu’ils arrêtent de parler et libèrent la fréquence. Enfin je parviens à les contacter. Ils me répondent rapidement et heureusement qu’ils sont équipés d’un GPS. Je n’ai plus qu’à leur donner la longitude et la latitude de la ‘cabane refuge’ pour qu’ils puissent la trouver et se mettre au plus vite à l’abri de la tempête qui ne tardera pas à suivre après les fortes chutes de neige. Voila c’est fait, je leur ai donné les bonnes coordonnées. Ils ont encore une bonne heure de marche car le vent et la neige ralentissent énormément leur progression, mais au moins ils savent où aller pour se mettre à l’abri des intempéries meurtrières de la montagne. Je frissonne en pensant à la chance qu’ils ont eut. La priorité de sauver des vies est plus qu’un devoir. Si ma radio était réglée sur un autre canal, si je m’étais pas réveillée … La montagne, si belle et pourtant tellement impardonnable, n’aurait fait qu’une bouché d’eux. Les souvenirs remontent, tous chez nous ont perdu des amis, collèges lors d’avalanches, et moi personnellement, j’y ai laissé des jeunes perdus, dans ces faces blanches, prisonniers d’une terrible tempête ...
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