1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°757)


    Datte: 22/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de neige… La préparation d’un grand déjeuner et d’un énorme pot de café, ces gestes quotidiens me calment lentement. Je me faut maintenant Vous avertir de l’arrivée de ces hommes perdus et encordés dans le froid. Un regard sur la pendule qui indique 6h30 pourtant la tempête donne l’impression d’être encore plus tôt. Je remonte à l’étage, Vous dormez encore. Je ne sais comment m’y prendre pour Vous tirez des bras de Morphée. Je m’agenouille, me penche, murmure Votre nom, heureusement pour moi Vous remuez un peu, l’odeur du café, les bruits que j’ai fait auparavant ont déjà dû Vous réveiller. Vos yeux papillonnent et Vous me jetez un regard interrogateur. Ce regarde me fait fondre, Vos yeux d’un bleu azur, si beaux, si Dominants à la fois me font vraiment craquer. Tout autre Maître se serait directement énervé, mais vous mon Maître vous me laissez le bénéfice du doute. Je Vous explique d’une petite voix, la tête et les yeux baissés, la situation mais Vous ne me répondez pas. Puis Vous prononcez simplement ces quelques mots : - Fais-moi jouir avec ta bouche ma petite chienne, pendant que je réfléchis. Et n’oublie pas applique toi ! Je Vous prends tendrement en bouche, je m’applique, je voudrais par cette caresse Vous faire ressentir tout mon Amour, toute ma Reconnaissance. Ma tête montait et descendait avec un rythme adéquat et enfin j’eu l’immense honneur de recevoir Votre semence, je savais que cela allait être le seul déjeuner que j’aurais. Puis toute en Vous gardant en ...
    ... bouche, toute en Vous nettoyant de ma langue, Vous me dites : - Ecoute moi ma chienne, tu as bien fait de porter secours à ces 3 cordées, on ne laisse pas les gens sans aide quand ils s’agit de sauver des hommes d’un mort certaine. J’avais prévu de m’amuser avec toi toute la journée, de t’utiliser comme bon me semble. Et je refuse de ne pas pouvoir le faire. Tu resteras ici ainsi, Je les recevrai, leur parlerai et selon comme je t’appellerai, tu sauras comment tu devras descendre ! Je savais que Vous n’étiez pas en colère contre moi, Vous le Grand Humaniste Philanthrope, mais que vous désirez tirer parti de la situation et je sais que je peux Vous faire confiance pour préserver ma santé physique et mentale. Et quoi qu’il doit se passer Vous serez là pour me soutenir. Alors je hochai la tête en silence. Et Votre main toujours à la même place se fit plus caressante. Nous sommes restés ainsi un long moment, moi à genoux aux pieds de Votre lit et Vous couché sur le dos Votre bras replié derrière la tête et l’autre main me caressant le cou, le dos, mes seins, s’attardant sur mes tétons... Des voix d’hommes raisonnaient dans le silence de l’aube, Vous Vous levez et Vous Vous habillez pour descendre au rez-de-chaussée, tandis que je reste là selon Vos ordres, totalement immobile. Puis le bruit des skis posés contre le bois, les voix masculines qui se plaignent, d’autre qui rient du bonheur de trouver refuge. J’essaie de compter le nombre de voix mais impossible. Je sais qu’il y a 3 ...
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