1. Le bouchon de plastique


    Datte: 22/05/2020, Catégories: fdomine, Masturbation Oral fsodo, hgode, exercice, extraconj,

    Ce texte est une expérience d’écriture à quatre mains. Ceci est la suite de notre collaboration. Je ne connais pas plus Christelle sauf au travers ses fantasmes de domination. Bonne lecture.Dans le premier épisode, j’ai fait la connaissance intime de Christian et Martine lors d’une soirée très chaude à leur domicile, où certains de mes tabous ont volé en éclats. Je cherchais désespérément une bonne raison d’aller retrouver Christian sans que mon mari ne se doute de quelque chose. C’est lui qui me fournira l’opportunité tant désirée… Marc rentre à peine du travail et immédiatement m’annonce : — Christian a eu un accident. J’ai un choc. Christian est le collègue de mon mari où nous avons passé la soirée de samedi. Je ne l’appréciais guère, mais mon opinion a changé après cette soirée de débauche en compagnie de Martine, sa femme, alors que Marc, terrassé par l’alcool, ronflait sur le divan… — C’est grave ? Que lui est-il arrivé ?— Non, pas trop grave. Enfin, il est bien esquinté. Dimanche, il a voulu faire un barbecue. Le feu partait mal, il a jeté directement de l’alcool à brûler sur les braises… Le truc à ne pas faire ! Il a les deux mains salement brûlées. C’est Martine qui a appelé la boîte. Il a passé deux jours à l’hôpital ; il a les mains bandées mais il ne devrait pas garder de séquelles. Nous sommes mardi et, depuis dimanche, je me creusais la tête pour trouver une excuse valable pour leur rendre visite. Bingo… — Ce doit être dur. Et handicapant. Je ne travaille pas ...
    ... demain après-midi. Tu ne crois pas que je devrais leur rendre visite ?— Je croyais que tu n’aimais guère Christian ? Je prends un ton dégagé. — Oh, c’est surtout pour Martine. Elle bosse toute la journée. Je pourrais passer leur faire un peu de ménage, ou préparer leur repas du soir…— C’est sûr qu’elle apprécierait. Christian ne peut rien faire, rien toucher, rien ranger. Un vrai boulet… Elle sera contente du coup de main… Re-bingo. Le lendemain, à 13 h, je sonne à leur porte. J’ai le cœur battant. Je me rejoue les scènes de la nuit de samedi… J’en suis encore tout excitée. J’avais opté pour une jupe assez sage et un pull qui moule mes seins orgueilleux. J’entends brailler : — Entrez… Puis, alors que je franchis la porte : — C’est qui ?— C’est Christelle. Je suis venue voir si tu avais besoin de quelque chose.— Je suis dans la chambre. Je pose mon sac et je m’y rends. Je connais le chemin, et pour cause. Il est au lit, la tête soutenue par deux oreillers, les bras posés sur la couette. Ses deux mains sont bandées depuis le milieu du bras jusqu’au bout des doigts. Il tient maladroitement un livre. — Bonjour, Christelle. Ça me fait plaisir que tu sois là ; tu pourras tourner les pages du bouquin, je n’y arrive pas avec ces foutus pansements. Il pose le livre et me raconte son accident. C’est vraiment le truc idiot. J’approche une chaise du lit. — Au fait, vous êtes partis tôt, dimanche.— Je crois qu’après ce qui s’est passé, j’avais honte de moi.— Tu as tort : Martine et moi ...
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