1. Le bouchon de plastique


    Datte: 22/05/2020, Catégories: fdomine, Masturbation Oral fsodo, hgode, exercice, extraconj,

    ... garderas tout l’après-midi durant tes tâches ménagères. Tu ne le retireras que pour le remplacer par ma queue. C’est compris ? J’acquiesce en silence. Il se cale dans ses oreillers et ferme les yeux. Je me suis assise sur la chaise, et d’une lente ondulation des hanches j’amplifie le plaisir que me procure la présence de cet objet étranger entre mes fesses. À son souffle plus régulier, je comprends que Christian s’est assoupi. Je n’imagine même pas lui désobéir en ôtant le plug ou en me rhabillant. Je me lève et décide d’aller ranger la cuisine et me faire un café pour évacuer le goût âcre de son sperme dans ma bouche. Marcher avec le plug dans l’anus est une sensation nouvelle, agréable, unique, comme se promener quasi nue dans une maison qui n’est pas la mienne. D’ailleurs, il ne me viendrait pas à l’idée de me promener nue chez moi. Je suis bien trop pudique… Très vite, je comprends que l’objet a été bien étudié. À aucun moment il ne semble en capacité de s’extraire malencontreusement… Je me suis attaquée à la vaisselle et au rangement de la cuisine, mais la tâche n’avance pas très vite, car régulièrement je m’arrête pour me caresser. Le plug dans mon cul fait de l’effet et je me suis donné deux fois du plaisir dans le salon, sur le canapé. Je sais que je vais en acheter un. Je cherche déjà les endroits dans ma maison où je pourrais le dissimuler et je réfléchis aux occasions que j’aurai de le porter. Il est 16 heures lorsque j’entends Christian se manifester en poussant ...
    ... un cri de douleur. Je me précipite. Dans son sommeil, il a tenté de se retourner et s’est appuyé sur une de ses mains. La douleur l’a réveillé en sursaut. — Ça va ?— Ça pourrait aller mieux, réplique-t-il avec un pauvre sourire.— Écoute, Martine ne va pas tarder ; je vais rentrer, sinon Marc va s’inquiéter.— Tu gardes le plug en place ?— Tu es fou…— Alors, si tu le retires, tu sais par quoi tu dois le remplacer… Cet homme est fou : il a mal, il est shooté par les médicaments, mais il pense encore à baiser. À me baiser. C’est flatteur, mais c’est un grand malade. Je glisse ma main sous les draps et palpe son sexe. Il est déjà à moitié dur. Je tire la couette vers le pied du lit et je commence à le masturber. Il est rapidement opérationnel. Je me hisse sur le lit. — Je veux voir ton cul, exige-t-il. Je lui tourne le dos et m’accroupis au-dessus de son ventre. Je passe une main entre mes cuisses et je retire le plug. J’ai une sensation soudaine de vide. J’attrape son sexe que je frotte sur mes lèvres et l’entrée de mon ventre inondé, puis je me positionne, place sa queue à l’entrée de mes reins, et doucement je m’empale. La pénétration de son gland me semble plus facile que samedi dernier. Mon anus a dû être assoupli par l’objet qui l’a occupé une bonne partie de l’après-midi… Lentement, je m’empale jusqu’à me retrouver assise sur son bassin. Je n’irai pas plus loin… J’entame une série de montées et de descentes de plus en plus rapides. Je coulisse sans problèmes sur son sexe. Je ...