1. Le bouchon de plastique


    Datte: 22/05/2020, Catégories: fdomine, Masturbation Oral fsodo, hgode, exercice, extraconj,

    ... avons apprécié tes talents. Sa main droite se pose maladroitement sur ma cuisse. — Ne dis pas que cela ne t’a pas plu. La preuve : tu es revenue ! Je sens le rouge me monter aux joues. — Non, enfin si, je veux dire…— Tu veux dire que tu as apprécié et que tu rêves de recommencer. Sa voix se fait dure, autoritaire. — Ne le nie pas, dis-le !— Oui, Christian, j’ai apprécié.— Et…— Et… j’en ai encore envie.— Bien. Tu vois ce n’est pas difficile. En tous cas, je suis passablement diminué, mais tu vas me rendre un service.— Oui.— Tu vas m’aider à aller pisser. Cette abrutie d’infirmière n’a pas voulu. Il repousse les draps et se redresse. Il est en caleçon. Il se lève et se dirige vers les toilettes. Je le suis. Arrivé devant la cuvette, il lève les bras. — À toi de jouer. Je me faufile sur le côté et passe ma main dans l’ouverture du caleçon. Je me saisis de sa queue que je sors. Je la dirige vers la cuvette et il se laisse aller. Il devait se retenir depuis un certain temps car j’ai l’impression que sa miction dure longtemps. Mais je suis heureuse d’avoir sa queue dans ma main. Je ne sais pas par quel maléfice cette bite m’envoûte autant. Lorsqu’il a fini, je ne peux m’empêcher de la caresser doucement. Je le sens réagir, mais il me rappelle à l’ordre. — Du calme, retournons dans la chambre… À peine arrivé, il s’allonge sur le lit. — Satanés médicaments… J’ai l’impression d’être toujours fatigué. Sa queue est toujours sortie puisque je ne l’ai pas rangée. Je suis de nouveau assise ...
    ... sur la chaise. Il tend le bras, passe sa main emmaillotée de pansements derrière ma nuque et m’attire vers lui. Ou plutôt, la pression qu’il exerce pousse ma tête vers son sexe inerte. — Allez, m’ordonne-t-il, puisque tu es venue pour cela. Je me penche et prends sa bite dans ma bouche. Je commence à la sucer. Je glisse ma main entre mes cuisses, et au travers de ma culotte je commence à me caresser tout en m’activant sur son sexe qui ne me semble pas aussi vigoureux que ce que j’ai connu samedi soir. Sans doute les médicaments… Après un certain temps, alors qu’il bande plutôt mou, il m’arrête. — Déshabille-toi.— Mais…— Fais ce que je te dis ! Sa voix claque comme un fouet. Je me mords les lèvres, me lève et, sans tergiverser, je me dénude sous son regard inquisiteur. Une fois nue, je reste debout à côté du lit et j’attends. Je suis à sa disposition. Il lève ses mains bandées. — J’aurais aimé te caresser mais… Va ouvrir la penderie, m’ordonne-t-il. Tire le premier tiroir, sur la gauche. Prends le bustier et mets-le. Plus qu’un bustier, il s’agit d’un corset. De belle qualité, d’ailleurs. Le mettre me prend du temps. Le laçage est délicat. Mais il est à ma taille. Je me regarde dans le miroir fixé à l’intérieur de la porte de la penderie. Je découvre une nouvelle Christelle. Ma peau blanche contraste avec le noir de cet accessoire comme avec le noir de ma toison pubienne fournie mais soigneusement entretenue. Ma poitrine, dont je suis si fière, semble être présentée comme sur ...