1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°984)


    Datte: 23/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... s’étaler au sol, sous les rires moqueurs des autres qui regardaient la scène. Celui qui avait mis la baffe l’attrapa par les cheveux et la tira après lui, se penchant au maximum pour lui maintenir la tête au plus près du sol, et l’obligeant à ramper pour pouvoir le suivre, tout en lui faisant renifler la terre. Les gardes formèrent un arc de cercle autour d’eux, quand l’un d’eux lui lança un ordre sur un ton autoritaire n’autorisant aucune réplique : - En levrette et écarte ton cul avec tes mains, salope ! Qu’on puisse voir ta rosette de chienne ! Alors docilement et craintivement, Zao se cambra en levrette cul bien relevé et fit saillir sa croupe et s'aidant de ses mains, ouvrit largement sa rosette... Crachant dans ses mains, le garde qui venait de parler et qui visiblement bandait déjà, humidifia son pouce et s'approchant, l'enfonça dans le cul de la soumise... l'ouvrant plus encore et ouvrant le chemin à son sexe déjà tendu, dur, long et épais... il l'enfonça d'un coup de reins violent sans autre préambule et commença à limer sans ménagement la souillon soumise. Longtemps... très longtemps... ils la baisèrent et la baisèrent encore à tour de rôle par tous ses orifices... Elle fut mainte fois enculée, baisée de la chatte et de la bouche et reçu une douche de sperme qui sécha lentement sur tout son corps... elle supplia, implora mais paradoxalement resta terriblement excitée d’avoir été offerte en pâture à ces rustres gardes, même si elle avait été autorisée à laisser ...
    ... éclater ses nombreux orgasmes... Ensuite, ils l’emmenèrent jusqu’à une cage. Elle y fut attachée avec une chaîne. Il y avait une petite porte qui fut fermée, obligeant la soumise à rester d’abord accroupie, cuisses et sexe bien écartés. Elle pouvait tout juste changer de position, pour se mettre à genoux, assise ou prosternée, mais elle n’aurait pas pu se lever. L’un des hommes exigea qu’elle se mette à genoux, la bouche ouverte, mains dans le dos. Tous s’approchèrent, sortirent leurs sexes de leurs pantalons pour lui uriner tous dessus. À l’odeur, cela devait faire un moment qu’ils n’avaient pas vider leur vessie. La pisse, mélangée à la terre, forma rapidement une flaque de boue. L’un des gardes la détacha et saisit Zao par sa tignasse et la força à se rouler dedans avant de l’attacher de nouveau dans la cage. Ils partirent ensuite sans un mot pour la soumise, toujours en riant, et se disant qu’ils allaient bien s’amuser durant le mois où cette petite salope allait être à leur disposition. Zaō était humiliée et en larmes. Jamais elle ne s’était sentie aussi rabaissée, humiliée, mais ce qui la surprit, c’est de constater malgré tout ça que son bas-ventre n’avait pas été insensible à ce qui venait de se passer, l’humiliation l’excitait, cela était une évidence qu’elle devait accepter... En effet, elle se sentit toute excitée et l’envie de se caresser devenait de plus en plus intense, ceci dit elle n’osa pas se toucher n’y étant pas autorisée après les orgasmes lors de la ...