1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°984)


    Datte: 23/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... baise de tantôt. Mais quoi qu’il en soit, son excitation d’avoir été ainsi humiliée était bien réelle et elle ne pouvait plus le nier à elle-même. De plus sans qu’elle veuille encore le reconnaître, la pensée qu’il allait vraiment falloir qu’elle fasse un effort pour retrouver un jour le Maître qu’elle désirait, s’insinuait de plus en plus sincèrement dans son esprit. Malgré son excitation croissante, elle éprouva un soulagement qui fut de courte durée, en pensant qu’au moins, ils avaient oublié la sanction consistant à l’empêcher de parler. Mais c’était mal les connaître car très vite un des hommes revint avec un petit sac. Après l’avoir qualifiée de « petite putain crasseuse et puante », il lui posa un bâillon-anneau et lui fit en plus tirer la langue pour y accrocher deux pinces à linge, lui tirant des gargouillis de gorge et de nombreuses larmes. Il la laissa après l’avoir poussé la refaisant tomber dans la boue odorante. La longueur de sa chaîne ne lui permettait pas de pouvoir s’en mettre totalement à l’abri. Zao n’avait plus qu’à espérer qu’elle sèche rapidement. En attendant, elle décida de s’asseoir en se tendant pour être le moins en contact possible avec la flaque. Malheureusement pour elle, le temps était très humide et la terre ne sécha pas. Elle ne pouvait même pas s’abriter à l’extérieur de la cage, car les gardes avaient cadenassé la porte. Ce n’est qu’une fois la nuit tombée, que quelqu’un vint la déverrouiller. Il lui jeta une couverture, qui était sale et ...
    ... qui sentait mauvais, mais qui lui permit de ne pas attraper froid. Même si sa sanction était que les gardes arrivent à la faire se sentir encore moins que rien, ils avaient l’obligation de veiller à sa santé, s’ils ne voulaient pas à leur tour subir le courroux de Monsieur le Marquis d’Evans. Alors, à cause de la météo pluvieuse en ce début de nuit, on la mena dans une niche abritée, à deux pas de la cage. Elle fut reconnaissante d’avoir pu entrer dans cette niche à l’abri car peu de temps après la pluie se mit à tomber abondamment. Le bruit qu’elle faisait empêcha Zaō de dormir une grande partie de la nuit. Elle s’assoupit seulement quand le soleil se leva et que la pluie cessa. Mais son repos fut court car un garde vint la chercher pour qu’elle prépare leur petit déjeuner. La maison au fond du Domaine de la Famille des Evans où vivaient les gardes-chasse, était assez éloignée du Château, et il était très rare qu’ils se déplacent jusque là-bas pour les repas, sauf s’ils devaient avoir quelque chose à y faire auparavant ou par la suite. La cour était détrempée par la pluie et donc glissante. Le garde fit exprès de tirer par à-coup sur la laisse de la chienne pour la faire glisser et s’étaler de nombreuses fois. Elle franchit donc le pas de la porte sale et mouillée. Mais il lui fallut reconnaître qu’il n’y avait pas que sa peau qui l’était. Même si sa nature la poussait à se rebeller contre l’autorité de la Domination de personnes qu’elle n’avait pas reconnues pour être ...