1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°984)


    Datte: 23/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Maître de sa vie, elle ne pouvait s’empêchait d’être excitée de nouveau par sa situation. Elle entra donc dans la maison des gardes-chasse laissant de nombreuses traces au sol. Un garde s’approcha d’elle, un fouet à la main. - Mais quelle sale petite chienne puante ! Prosterne-toi et implore-moi de t’excuser. Implorer le pardon de qui que ce soit, c’était hors de question pour elle ! Mais de plus, elle ne pouvait pas le faire, toujours appareillée qu’elle était. Elle regarda alors le garde, avec un air désemparé. Une fois de plus, elle fut giflée, à croire que c’était une des pratiques favorites des gardes. - Chienne, tu n’as pas encore compris que tu ne devais jamais regarder quelqu’un de supérieur à toi ? Je sais bien que tu ne peux pas parler, cependant si tu avais eu un minimum d’imagination, tu te serais prosternée, puis aplatie au sol et tu aurais rampé jusqu’à mes pieds ! Alors qu’attends-tu pour m’implorer maintenant que tu sais ce qu’il faut faire ? Zao s’exécuta enfin, et fit par la même de longue trainée de terre au sol. - Tu seras pardonnée après avoir été punie et avoir nettoyé tes saletés. Et pour ta punition tu vas recevoir 25 coups de fouet dans la position où tu te trouves, et tu les compteras à voix haute. Fais-le à haute et intelligible voix, cars si jamais je ne t’entendais pas, je reprendrai à zéro ! Les coups étaient forts, sans toutefois faire plus que lui laisser des marques. Mais elle passa d’abord plus de temps à crier qu’à compter et donc le garde ...
    ... recommença quelques fois, mais heureusement pour la soumise à chaque fois, il n’avait eu le temps que de donner un coup. Au final elle en reçut une bonne trentaine, et si elle avait mal à en pleurer, elle était également trempée, sa cyprine coulant sur ses cuisses, et commençait à accepter qu’elle pût prendre du plaisir à se faire dominer sévèrement. Quand la punition fut terminée, elle eut droit de se lever pour pouvoir préparer et servir le petit déjeuner. Mais elle eut surtout le devoir, une fois le service fait, et après qu’on lui eut enlevé ses pinces (ce qui lui arracha des larmes et des gémissements de douleurs) et son bâillon, de passer sous la table et de sucer tous les gardes, un par un, qui étaient cette fois-ci plus nombreux. À chaque fois qu’ils s’apprêtaient à éjaculer, ils la repoussaient et se vidaient dans une écuelle en bois. Quand ils eurent fini de manger, ils vidèrent leur vessie dans une seconde écuelle. Ils les mirent de côté et exigea que Zao nettoie alors le sol à quatre pattes, mais sans avoir eu droit de se laver avant. Elle passa un très long moment à repasser derrière elle, car au fur et à mesure qu’elle nettoyait, elle resalissait le sol, surtout quand elle marchait là où c’était mouillé et que la terre se mélangeait à l’eau. Lorsqu’elle eut enfin fini, elle était épuisée et rêvait de pouvoir se restaurer, mais aussi elle était toujours très très excitée par un sexe vraiment trempée quand il fallut avaler les deux écuelles, celle remplie de pisses ...