1. De Dame patronnesse à libertine. (1)


    Datte: 01/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Cette histoire n’est que pure fiction... Elle met en scène une quadra à qui des jeunes gens font découvrir les joies du sexe... Voici ce que j’ai imaginé (plusieurs épisodes...) En ce dimanche d’été, le soleil était brûlant... J’aurais préféré ne pas être en extérieur avec ce temps-là. Mais il était de mon devoir de bonne catholique de faire du porte-à-porte après la messe pour aider les gens. Après la messe dominicale, j’étais passée rapidement à la maison... Avant de repartir, j’avais lissé ma jupe sur mes hanches en me regardant dans la glace du dressing... J’étais parée pour la tournée de distribution des périodiques catholiques et des gâteaux que j’avais confectionnés. On m’a déjà claqué trois portes au nez dès que je me suis présentée : Pas cool comme disent les jeunes ! Désormais, j’étais nerveuse et découragée par le manque de savoir-vivre de ces personnes. Je repensais à ce que Léa, ma seule amie à la paroisse m’avait dit : les gens sont plus aimables et plus réceptifs si tu leur offres des gâteaux. Le locataire de la maison suivante m’a arraché la boîte de gâteaux avant même que je n’ouvre la bouche et a refermé la porte. Sur le moment, découragée, j’ai hésité à aller frapper à une autre maison. Je me suis dit en moi-même que je n’étais pas douée pour le porte-à-porte... J’aurais aimé que mon amie Léa soit là pour m’aider. Alors que je m’approchais de la maison voisine, je pensais qu’avec cette chaleur moite, je n’étais pas à l’aise avec mes talons, mon tailleur ...
    ... noir et mon chemisier blanc : J’aurais dû m’habiller différemment ! En partant de la maison ce matin, je m’étais habillée de façon stricte pour assister à la messe, mais au cours de la tournée, la chaleur torride m’avait obligé à retirer ma veste et à ouvrir quelques boutons de mon chemisier, révélant plus de peau que je n’aurais voulu. Naïve, je ne m’étais pas rendu compte que mes gros seins pâles enfermés dans un petit soutien-gorge qui avait du mal à les soutenir étaient visibles et luisants de sueur. Ma jupe un peu courte arrivait à peine au-dessus de mes genoux et elle collait à mes jambes ! Lorsque je marchais, elle était à peine suffisante pour couvrir le haut de mes bas (quelle idée saugrenue : des bas en plein été) et les lignes de ma culotte étaient sûrement marquées sur mes fesses. Décidément, c’était un mauvais choix... mais on ne se refait pas... N’étais-je pas ce qu’on appelle une « bourgeoise » qui se consacrait aux bonnes œuvres ? Mes talons galbaient mes jambes. Avec mes lunettes à fine monture et mes longs cheveux bruns tenus en chignon, je me disais que j’étais plus l’incarnation d’une femme d’affaires sexy que d’une Dame patronnesse ! De plus en plus mal à l’aise, je me disais que j’aurais mieux fait d’abandonner. Mais j’ai monté les marches de la maison suivante, une bâtisse assez ancienne quelque peu décrépite et à l’écart du bourg. Des chiffres rouillés indiquent « 45 » mais il y a une marque qui montrait qu’il en manquait un ! Je pensais en moi-même que ...
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