1. De Dame patronnesse à libertine. (1)


    Datte: 01/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... je n’étais peut-être pas dans le bon quartier... La paroisse avait été divisée pour ses bénévoles qui se répartissaient la charge... J’avais choisi un des quartiers dans les plus vieux, un peu à l’écart du centre, où mes collègues ne voulaient pas aller. J’étais désolée que personne ne se soit inscrit pour m’accompagner, mais je ne pouvais les blâmer. Le quartier était vieux et la population d’approche difficile. D’ailleurs, ce quartier était évité par les autres bénévoles depuis qu’Agathe, une jeune fille de 18 ans, en était revenue enceinte. Ses parents affirmaient qu’elle avait été violée. Et bien qu’Agathe n’ait jamais raconté ce qui lui était arrivé, elle avait nié avoir été violée. Personne n’était revenu dans le quartier depuis... Un an avait passé... et j’étais la première à y revenir. J’avais frissonné en essayant d’imaginer ce qu’Agathe avait pu subir, surtout qu’elle avait le même âge que ma fille Amandine. Quand elles étaient ensemble en public, les hommes de tous âges les observaient... J’avais laissé ma fille à la maison ce matin alors que j’allais à la messe. Ce n’était pas son truc... J’aurais voulu que mon mari et sa fille soient plus pratiquants : Je me serais sentie plus confiante s’ils avaient été à mes côtés... Mais, dès le début de notre relation, mon mari m’avait fait comprendre que la religion ne l’intéressait pas : Il n’y avait que le sport qui comptait ! J’aurais quand même bien aimé qu’il joue les gardes du corps... ou qu’une autre personne ...
    ... m’accompagne... Je me jette à l’eau... J’ajuste mes lunettes avant de frapper sur la porte... J’attends une minute mais personne ne vient. Je pense : Je devrais abandonner... Avec mes yeux bleus, j’examine la maison : La peinture blanche s’effrite et les fenêtres sont couvertes de draps en guise de rideaux. La peinture verte de la porte est défraîchie. Le jardin délaissé et les escaliers menant à la porte sont abîmés, usés. Je m’étonnais que je ne me sois pas tordu la cheville en montant. Je frappe de nouveau, plus fort. Le soleil tape dans mon dos. Mon front devient collant et mes cheveux gras. Mon mascara ne coule pas encore mais je m’inquiète que bientôt il le fasse... Je ne suis pas beaucoup maquillée, juste assez pour être belle, un peu de blush rose sur les joues et un rouge à lèvres rouge. La sueur n’abîmerait pas mon maquillage... mais elle ne l’arrangerait pas. Enfin j’entends du mouvement de l’autre côté de la porte. Un homme dit au travers de cette porte : — Juste un instant... Les bruits continuent derrière la porte puis elle s’ouvre en grinçant. Unjeune homme s’avance rapidement et me fait entrer. Alors que la porte se referme à moitié, il me rattrape car j’ai perdu l’équilibre... — Désolé Madame, mais ils stockent tellement de choses derrière la porte qu’elle est presque impossible à ouvrir. Que puis-je pour vous ? Je me dégage et me redresse. Je remets mes lunettes en place et regarde le jeune homme de bas en haut : Il est torse nu et très beau. Sa poitrine et ses ...
«1234...17»