1. De Dame patronnesse à libertine. (1)


    Datte: 01/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... avant que je ne parle, Jacques dit : — Mais je me souviens de vous, Madame Dubois. Vous êtes la mère d’Amandine. J’étais à l’école avec elle. Vous vous souvenez de moi ? Je regarde le garçon. Je me souvenais de lui... Il était assis à côté de ma fille pendant son année de première : Il aimait l’embêter et Amandine s’en plaignait : il avait sûrement le béguin pour elle ! Je hochai la tête et je poursuivis : — Comment vont vos parents Jacques ? Il hausse les épaules avant de répondre : — Je ne leur parle pas beaucoup mais je suppose qu’ils vont bien. Comment va Amandine ? — Elle vient de terminer sa première année de fac. Mais vous, que faites-vous ? Jacques secoue la tête : — J’ai toujours été nul ou trop flemmard... donc voilà pourquoi je vis avec ces clochards. Je ne sais pas comment réagir alors je ne dis rien. Du coin de l’œil, je peux toujours voir la bite à moitié molle de Pierre. Thierry a étiré ses bras, celui de droite reposant juste au-dessus de son dos, sur le dossier du canapé. Pierre demande alors : — Thierry ! As-tu offert un verre à Madame Dubois ? Son copain répond : — Où sont les bonnes manières ? Je vais aller chercher de l’eau... vous devez avoir soif après cette journée au soleil ? Pierre cligne de l’œil à l’intention de son ami : — Une femme d’Église a toujours soif, Thierry ! Je ne comprends pas le double sens de cette phrase mais je vois les sourires sur les visages des garçons. Je remerciai Thierry quand il me donna l’eau. Depuis son canapé, Bruno ...
    ... demanda : — Donc vous vouliez nous parler ? — Oui, j’ai des brochures à vous donner. Je tends mon verre à Thierry et je me lève pour distribuer les brochures et je les interroge : — Est-ce que vous pensez venir à l’église un jour ? Les garçons répondent en riant... Je trébuche quand je veux revenir m’asseoir... Le sol était si encombré ! Mes documents s’éparpillent. Thierry veut me rattraper alors que je tombe la tête première sur ses genoux. Sa main saisit ma cuisse mais l’eau du verre éclabousse mon chemisier. — Pardon... — Il n’y a pas de mal... Mes yeux tombent alors sur l’entrejambe de Thierry : Un renflement est perceptible sous le caleçon. Le garçon voit mon regard et m’aide à me redresser. Mon soutien-gorge rose est maintenant bien visible sous mon chemisier humide. Rougissante, je prends place à côté de Thierry. J’espère qu’il n’est pas trop évident que mes mamelons ont durci. Mais Bruno l’a remarqué : — Vous pouvez enlever tout ça si vous êtes mal à l’aise. — Je vais bien. Je disais donc... Pierre me coupe d’une manière quelque peu brutale : — Pour être honnête, je ne comprends pas l’église. Pourquoi y allez-vous Madame MARTIN ? — Euhhhh... — Est-ce pour vous habiller pour vos amis et vous sentir bien ? — Non, je m’habille comme ça la plupart du temps et je n’ai pas beaucoup d’amis à l’église. Thierry dit à son copain : — Détends-toi Pierre. Désolé, j’étais ironique lorsque j’ai dit que Pierre aimait les gens pieux. Pierre se leva : — Non, j’aime bien les gens pieux. ...
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