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De Dame patronnesse à libertine. (1)
Datte: 01/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... parmi ses clientes... Je demandai aux garçons : — Je veux vous sentir éjaculer en moi les garçons ! Pas de préservatifs. Si Agathe pouvait le faire alors... moi aussi. Cette petite n’avait probablement pas su les assouvir convenablement. Je ne pouvais m’empêcher de ressentir de la jalousie. Pour quelle raison étais-je jalouse ? Elle n’était certainement pas la première à passer dans leurs mains. Mon esprit divague. Avec un vibromasseur dans ma chatte humide, le visage recouvert de sperme, je suis plus excitée que je ne l’ai jamais été. — Ne vous inquiétez pas Madame Dubois, nous allons bien nous occuper de vous. Nous vous montrerons des choses que vous ne connaissez sûrement pas ! — Elle veut que nous la baisions comme la petite Agathe, les gars ! Nous avons une nouvelle salope ! Qu’en dit votre mari ? — Qui ça ? — Votre mari assis dans votre maison qui n’est pas au courant que vous êtes une sale traînée, allongée dans un salon miteux en train de vous masturber devant quatre jeunes ? Je pousse plus fort le vibromasseur dans mon sexe, essayant d’ignorer les commentaires. Mes genoux tremblent et je crie ma jouissance, les yeux révulsés, bouche ouverte. Les garçons regardent mon orgasme : je me cambre, mes jambes étranglant le vibro enfoncé une nouvelle fois au fond de ma chatte. — Dites Madame Dubois ? La prochaine fois que vous viendrez, pourrez-vous amener votre fille Amandine ? Je vous laisserai utiliser ce jouet sur elle. Ils se moquent... Mais je ne m’en soucie pas. Leurs ...
... commentaires ne me touchent pas. J’étais une salope : leur salope... Cette pensée me fait frissonner alors que je me remets de mon orgasme. — Êtes-vous prêts les garçons ? Baisez-moi s’il vous plaît... Vite... Je suis à vous ! Je jette le vibro vers eux. Pierre m’attrape un bras avec facilité et m’attire vers lui, son membre en érection dans son autre main. Il sourit : — Je veux être le premier dans cette chatte ! Bruno ajoute : — Viens là salope ! Il se dirige vers moi et m’attrape par les cheveux violemment. Je crie de douleur mais je suis rapidement étouffée par la queue qu’il enfourne dans ma bouche. Puis il commence à se branler dedans. Je lève mes yeux pour le regarder... Il ne sourit pas... Je sens que l’on caresse mon cul puis des doigts s’enfoncent dans mon antre humide... Je relève mon fessier pour faciliter les choses à l’inconnu derrière moi mais uneclaque tombe sur ses fesses. Je grogne mais je garde mon cul en l’air. — Laisse la place... Bruno ! La bite quitte ma bouche. J’essaie de la rattraper mais sans succès. Des mains puissantes saisissent mes hanches, d’autres mes bras. Je suis soulevée et remise debout, penchée en avant. J’enroule mes bras autour de la taille de l’homme devant moi. Puis j’avale le membre à demi dressé devant mes yeux. Enfin je sens une première queue frotter ma motte. Elle la taquine, caressant de haut en bas sans la pénétrer. Je recrache la bite de ma bouche et je murmure : — S’il te plaît... ne me fais pas languir ! Je passe ma langue ...