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De Dame patronnesse à libertine. (1)
Datte: 01/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... m’encule instantanément. Immédiatement il me bourre : le passage était fait ! Il peut entrer sans peine son gigantesque mandrin ! Je fais de mon mieux pour tenir mes fesses ouvertes, écartant mes globes pâles, l’acceptant au plus profond de moi. Les autres garçons sortent de la pièce pour aller se nettoyer. Pierre avait certainement la plus grosse queue des quatre. Il semblait remplir tout l’espace de mon derrière. Les yeux fermés, je mordis mon pouce pour m’empêcher de couiner. Malgré son cul engourdi, je pouvais sentir le sexe à l’intérieur d’elle. Pierre me pilonne avec facilité maintenant. Mon cul est encore serré mais le sperme de Jacques aide le membre à coulisser. Le garçon savoure cet instant où sa jeune bite perfore le trou interdit de cette d’une jolie quadra, mère de famille sérieuse emportée par la luxure... — Je vais jouir Madame Dubois ! Je vais remplir ton cul de salope. Tu ne savais pas ce que tu étais vraiment vieille bigote. En fin de compte tu n’es qu’une autre de ces ménagères salopes accros au sexe. Entendant ses railleries, je me mis à pleurer mais je dis aux travers de ses pleurs : — Tu as raison. C’était trop bien pour arrêter. Je ne dirai pas à son mari que j’ai été violée, baisée et sodomisée... Et je reviendrai, tout comme Agathe ! Je reviendrai ! Et si je n’obtenais pas satisfaction ici, j’irais ailleurs. Dans cette partie de la ville ou ailleurs, je trouverais facilement. Je compris pourquoi Agathe n’avait rien dit... Je pourrais même ...
... sympathiser avec elle pour revenir. Pierre pousse une dernière fois sa bite au fond de mon cul et dit : — C’est pour toi... Salope ! En même temps, son sexe gonfle et me remplit le cul avec une décharge de liquide chaud, la troisième que je recevais de lui. Le jeune sortit son membre et finit d’éjaculer sur mon dos. Au même moment, un autre orgasme me terrasse. Je frissonne sous le poids de Pierre, ses hanches cognant le sol avec enthousiasme en pleine extase : — Oh mon Dieu... Pierre ! Tu es inépuisable ! Le garçon me laisse là, vautrée dans la fange. Ma tête repose sur le sol et je peux voir les brochures que j’avais apportées, éparpillées tout autour de moi ! Je relève mon visage, une feuille collée sur ma joue. Le sperme a séché dans mes cheveux mais je suis encore humide partout ailleurs. Je relève tant bien que mal mon corps endolori et je réussis à garder l’équilibre sur mes talons. Je ne vis ni mes vêtements ni les garçons. J’errai jusqu’à ce qui pouvait être la salle de bain... J’aperçus une nouvelle femme dans le miroir. Mon beau chignon était complètement défait et parsemé de longs brins blancs. Mon rouge à lèvres barbouillait mon visage. Des filaments blancs pendaient de mes lunettes sur mes joues. Des larmes séchées complétaient le tout. Mes seins aussi étaient couverts de sperme mais le pire c’était ma chatte. Elle dégoulinait, formant une flaque sur le sol. Mon cul aussi, laissait le liquide couler le long de mes cuisses. Je ris : je suis mignonne après tout ! Même dans ...