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De Dame patronnesse à libertine. (1)
Datte: 01/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... Surtout les salopes qui sous des airs de « Sainte-nitouche » sont en fait des salopes qui s’ignorent ! Il prend place sur l’accoudoir du canapé juste à côté de moi, écartant les jambes et tenant son membre à quelques centimètres de mon visage... Bruno et Jacques roulent des yeux alors que les miens s’agrandissent. — Je crois que je devrais y aller... Je commence à me déplacer vers la sortie mais Bruno est rapide. Il bondit de dessous sa couverture et me tire vers le bas sur son canapé. Accidentellement, ma main caresse la bite du garçon alors que je tombe sur le divan. — Les garçons... laissez-moi... J’essaie de reprendre mon souffle. Je vois Thierry et Jacques se lever de leur canapé. Le caleçon de Thierry est déjà sur le sol, sa bite en érection. Pierre et Bruno sont assis de chaque côté de moi, tenant mes bras. Thierry et Jacques sont en face de moi, de grands sourires éclairant leurs visages. — Ne vous inquiétez pas Madame Dubois, nous savons comment bien traiter nos invitées. Thierry s’est mis à genoux devant moi. Il trousse ma jupe, exposant ainsi mapetite culotte de soie noire. Je m’écrie : — Que fais-tu ? Thierry me sourit. Il met son index sur le petit monticule sous la culotte... Il sent aussitôt que ma chatte est déjà bien humide. J’essaie tant bien que mal d’échapper à l’emprise des deux autres garçons et de fermer mes jambes. Mais ils me maintiennent bien, jambes ouvertes. Bruno commente alors : — Vous avez de beaux seins. Et son doigt fait sauter un bouton, puis ...
... un autre. Paniquée, je regardais les boutons sauter un par un... J’aurais voulu l’arrêter mais j’étais comme paralysée. Bientôt, je suis à moitié nue, dépoitraillée, la jupe troussée sur mes hanches rondes. — Vous ne devriez pas me faire ça les garçons. Je suis mariée... J’ai un mari... Je me défends bien mal pendant que Pierre chuchote dans mon oreille : — Je suis sûr que ça ne dérangera pas Monsieur Dubois de vous prêter à des beaux mâles comme nous, bien pourvus et en manque de femme ! Je ferme les yeux... Comment lutter contre ces quatre garçons visiblement en rut ? Thierry frotte toujours ses doigts sur la culotte de soie... Il serait déjà à l’intérieur de sa chatte si le petit bout de tissu ne faisait barrage. Bruno et Pierre ont baissé mon soutien-gorge et ont saisi chacun un sein... Ils les massent, triturant les mamelons entre leurs doigts puissants. Je ne sais pas où était Jacques mais je me doute qu’il prépare quelque chose. Thierry me taquine : — Vous êtes toute mouillée, Madame Dubois. Vous appréciez, n’est-ce pas ? — S’il vous plaît... arrêtez... Je gémis... mon corps me trahit... Il réagit malgré moi et je sens la jouissance monter. Je proteste de plus en plus mollement : — J’ai un mari... et une fille... Les doigts de Thierry sont merveilleux et pourtant ils n’ont pas encore pénétré mon intimité. Les deux autres garçons sont occupés à malaxer mes seins... Ils font rouler mes tétons entre leurs doigts durs... Ils ne tiennent même plus les bras. Pierre prend ma ...