1. Nos premières ébauches


    Datte: 23/05/2020, Catégories: fff, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu,

    ... téléphone à la main, en minaudant en silence et d’une démarche absolument scandaleuse, à mettre le feu dans une réunion paroissiale de quakers. Elle se colle à moi, je sens ses seins nus dans mon dos et sa langue chaude et mutine, dans mon oreille qu’elle mordille en me susurrant : — C’est ta blonde coincée du couvent des oiseaux ! Et elle me tourne vers elle et me roule une pelle d’anthologie. — Allo, allo… Ouf, elle me lâche. Je respire à nouveau, les jambes tremblantes et porte le combiné à ma bouche — Bonjour, c’est Valérie.— …— Ah oui !— …— Votre mari ? bien sûr !— …— J’en serai ravie.— …— Venez donc mercredi vers 20 h 30, place Saint-Sulpice au numéro 2— …— Quelle tenue ? Écoutez, venez habillée comme au restaurant, je vous avais trouvée craquante.— …— À mercredi donc. Mercredi, il est 20 h 15. Comme tous les mercredis, Judith est là et je la croque, lascivement étendue sur le divan, la taille légèrement couverte d’une serviette. Judith est toujours un appel au sexe quand elle pose, toute sa personne exprime le désir, c’est presque animal, incroyable. On sonne à la porte, je me lève pour aller ouvrir : ce doit être Laure, je suis tout excitée, à l’idée de la dessiner chez moi, qu’elle ait accepté mon invitation. Judith se lève impudique, nue, un peignoir ouvert sur elle et se précipite vers la porte. Je crains le pire. J’entends sa cavalcade dans le couloir, la porte s’ouvrir et puis plus rien, silence. Et voilà Judith toujours à moitié nue dans son peignoir, qui me ...
    ... frôle et me susurre à l’oreille : — Je l’ai embrasée sur la bouche, hum ! mais je n’ai pas mis la langue… Et voilà Laure, un peu rouge, confuse, vêtue d’une petite jupe noire sage au-dessus des genoux, des bas ou vraisemblablement des collants, un chemisier blanc bien fermé, un collier de perles, je crois, et cette queue de cheval blonde qui m’a tant excitée. Et le regard vers le bas, elle doit ressentir encore Judith à moitié nue l’embrassant sur la bouche. À peine le temps de la regarder, Judith reprend la pose sur le sofa, un peu plus lascive peut-être, bouche ouverte, les seins en avant, les jambes écartées, elle humecte ses lèvres de sa langue. Hard. Vite, je croque avec mon crayon les yeux qui demandent, la bouche qui réclame, ces jambes qui promettent ! En quelques traits, j’ai dessiné une figure très érotique ! Je sens Laure dans mon dos, je me retourne, et surprend son expression ! — Maintenant, c’est à vous.— À toi.— As-tu déjà posé ?— Non— Es-tu sportive ?— Oui, j’ai fait de la danse classique, longtemps.— Parfait, tu n’auras pas de difficulté à tenir la pose. Judith se relève totalement nue, impudique et passe devant nous. — Je vais me doucher avant de partir, dit-elle en nous frôlant. Et elle s’en va lascivement, très cambrée pour bien montrer son sexe totalement rasé. Je la suis du regard, et je m’aperçois que Laure aussi. — Elle est belle non ? C’est un plaisir de la dessiner. Bon, quelle pose allez-vous prendre ? Vous avez une idée, une envie ?— Mon mari souhaite ...
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