1. Banane-Mangue ou Abricot-Framboise


    Datte: 24/05/2020, Catégories: ff, fbi, inconnu, train, noculotte, Oral nopéné, fdanus, uro,

    ... ». Le contrôleur sourit de plus belle. Je comprends mieux son regard. — Alors, Mademoiselle, que décidez-vous ? Sans lui répondre, je lui donne les boules de geisha et je remonte ma jupe. J’ai chaud, très chaud. De me dévoiler à cet homme que je ne connais point me fait mouiller à flots. Ma chatte est à l’air libre. Le local est petit, je suis obligée de mettre mes pieds de chaque côté du tabouret du contrôleur. Je n’en peux plus de voir son regard fouiller mon entrejambe. Son regard m’excite de plus en plus, je me sens couler, m’ouvrir. Il me fait signe de venir sur ses genoux, je sens le contact de sa queue dure, à travers son pantalon, sur mes fesses. Il commence par me caresser les seins très lentement, et me tire les pointes, je gémis de plaisir, je sens que je vais bientôt jouir, il fait glisser les boules entre mes lèvres trempées. Elles sont froides, le contraste entre ma chaleur humide et cette fraîcheur est délicieux. Les boules passent et repassent sur mon clito qui gonfle et se durcit d’excitation. Je suis à la merci de cet homme, il m’enfonce enfin les boules, lentement, une à une. J’aime ce contact, j’aime les sentir. Je me liquéfie. Il me susurre à l’oreille : — Ce n’est pas moi qui vais te faire jouir, repars vers ton compartiment et arrête-toi au wagon-bar. Une personne viendra te voir. Et me revoilà repartie à traverser ce train avec les boules de geisha qui s’entrechoquent. Je me sens défaillir à chaque pas, j’ai l’impression que je vais jouir au milieu ...
    ... de tous ses gens, je n’ai qu’une envie, c’est de m’arrêter pour me caresser. Ouf ! J’arrive au wagon-bar. Je me dis que, si je m’assois, je me sentirais moins fébrile. Erreur. Avec les roulis du train, les boules s’entrechoquent encore plus, je suis en train de tremper ma jupe. Heureusement qu’elle est noire ! Cela se verra moins. Je me relève. Un corps de femme se plaque contre le mien, elle commence à me parler à l’oreille, mais le steward déclame sa litanie au micro : — Mesdames, Messieurs, un assortiment de repas froids et chauds vous attend au wagon-bar… Je fusille le steward du regard, je n’ai rien entendu ! Que faire ? La suivre ? Ai-je le choix ? Je la regarde. Elle a l’air si douce. Elle est si attirante et ses yeux pétillent de malice. Allons, il ne peut rien m’arriver. On ne croise pas de succubes – de surcroît lesbiennes - dans les Corails. Ou alors, le personnel a beaucoup changé et ça se saurait ! Je la suis. Je me retrouve avec elle dans les réserves du wagon-bar. Elle m’attire vers elle et m’embrasse divinement. Elle glisse sa main sous ma jupe et retire les boules qu’elle se met à lécher en me regardant. J’ai envie qu’elle me lèche aussi. Mon bassin se tend vers elle. Elle me guide vers une table où elle m’installe, à peine assise sur le bord. Elle glisse un doigt en moi, puis deux, mais j’en veux plus, un troisième me fait gémir. Je ferme les yeux, je ne sais pas si les clients du wagon-bar m’entendent. La possibilité d’être entendue m’excite encore plus. Je ...
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