1. Le procès II : Les Hermaphrodites


    Datte: 28/05/2020, Catégories: grp, bizarre, magasin, intermast, facial, Partouze / Groupe délire, humour, fantastiqu,

    ... c’était bien toi qui me demandais, dit Irina. Y avait un de ces bordels dans ma tête. Le coup de théâtre était déjà gros et me faisait penser à un autre piège. Mais en plus, je me retrouvais avec deux femmes étranges. Mes sentiments pour la première étaient clairs, mais elle était morte. Pour la seconde, c’était confus, mais elle n’était même pas née en 2000. J’ai pensé à ce moment-là à toutes les réactions chimiques qui pouvaient bien se caramboler dans mon corps. Au moins, le désir sexuel a quelque chose de simple. Pas de questions à se poser, encore moins de réponses à trouver. Une queue en érection et un trou à défoncer. Une bonne bouteille pour récupérer entre les jouissances. La belle vie, quoi. La vie du Bazar. Mais, comme à chaque fois que je flanchais, j’entendis la voix de Céline. « Et moi, tu vas m’enculer ? Fous-moi ta grosse queue dans mon cul ! » Et comme à chaque fois ça me faisait réagir. — Irina, mon bâton, s’il te plaît.— C’est qui, alors ? demanda-t-elle en désignant Alexandrine.— Un fantôme, répondis-je. Alexandrine souriait toujours et ne fut pas offusquée de ma réponse. Irina frissonna un peu et avança. Elle n’avait ...
    ... pas l’air rassurée. Quelque chose attira mon attention. Les pas d’Irina, dans l’eau qui inondait la cave, ne faisaient aucun bruit, aucun remous. — Quelque chose ne va pas ? demanda-t-elle en s’arrêtant.— Donne-le-moi. Mon bâton !— REPONDS-MOI ! hurla-t-elle. Au même instant, la porte s’ouvrit en grand. L’homme en rouge était là et souriait bêtement. En fait, il n’était plus vraiment en rouge, puisqu’il apparut tout nu, la queue en érection et tenant Ferra par sa laisse. — YEAH !! Que la fête commence ! cria-t-il joyeux. Dansons. Joignant le geste à la parole, il débuta une gigue en traînant Ferra qui gardait son sourire niais. — Ouais, la teuf !!! chantait l’homme en rouge. C’est le pied de se branler, devant l’air con du condamné, c’est le pied de faire la fête avant de lui couper la tête. Les six malabars passèrent, eux aussi, la porte, chacun armé d’une hache. Avec mon morceau de bois, je n’avais aucune chance, mais je me précipitai quand même pour le récupérer. « C’est le pied de se branler Devant l’air con du condamné. C’est le pied de faire la fête Juste avant de lui couper la tête. » Rhaaaa, bordel ! Mais où est la reine de cœur ??? 
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