1. Sens dessus dessous et à l'envers aussi


    Datte: 29/05/2020, Catégories: fh, hh, hbi, jeunes, copains, école, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation yeuxbandés, fouetfesse, init,

    Ulrich. Il s’appelle Ulrich. C’est mon colocataire et accessoirement aussi un très bon pote depuis cinq ans. Nous entamons en même temps notre parcours universitaire : il est en socio et moi je suis en première année d’anglais. Pour tout vous dire, si Ulrich est un excellent copain, depuis toujours, il m’agace néanmoins considérablement. Ce grand con (un mètre quatre-vingt-cinq sans forcer), aussi loin que je puisse remonter a toujours été adulé par les filles de nos classes successives. Il a, paraît-il, une gueule de rêve, de l’humour (ce que je reconnais volontiers) et un corps d’athlète (ce que je lui envie encore plus volontiers.) Il est brun, les yeux gris, super sympa… la totale. Moi, par contre, je ne suis qu’un type normal. Plus beau que moche toutefois, mais de peu. J’ai eu des copines mais rarement celle que je convoitais vraiment…Pendant que lui enchaîne les conquêtes selon ses humeurs, je peine comme un forçat pour trouver un peu de chaleur dans mon lit qui ne vienne pas que de moi. Nous sommes donc en colocation depuis la rentrée et je vis un petit calvaire : Ulrich (avec un nom pareil, avoir un tel succès, ça devrait être illégal) n’a peut-être pas passé plus de deux nuits seul dans sa chambre tandis que je m’essouffle encore régulièrement, le poing fermé, le corps tendu en arrière, rêvant à Estelle ou Chloé, deux superbes jeunes filles que je vois tous les jours. Un autre duo : Estelle la brune, grande, élancée, un visage d’ange, des petites fesses à fesser ...
    ... pour leur impertinence et des jambes, ha, des jambes, mes ami(e)s… et Chloé, rouquine, petite mais proportionnée selon le chiffre d’or. Elle possède en plus ce rien d’humour qui fait toute la différence. Je les travaille au corps, si je puis dire, espérant gagner un jour ou l’autre un signe de faveur de l’une des deux. Ulrich ne sait rien d’elles et j’évite de lui en parler, de peur qu’il ne me les souffle les deux d’un coup, ce qu’il serait bien capable de faire. Il sait cependant que je suis en quête d’un peu de réconfort et n’hésite pas à me taquiner à ce sujet, lorsqu’il ne me provoque pas ouvertement. Ses copines ont l’air de prendre un malin plaisir à faire vibrer la cloison qui me sépare de sa chambre par des cris inarticulés ou des gémissements incessants. Au début de la semaine passée, j’ai même croisé furtivement l’une d’elle devant la salle de bain, entièrement nue, encore essoufflée de ses ébats nocturnes. Elle m’a sourit. J’ai suivit du regard ses fesses rondes qui s’éloignaient tranquillement, puis je suis allé prendre mon petit déjeuner, raide comme quelque chose de très très raide. Ulrich a soudain passé la tête par la porte de la cuisine : — Salut.. heu.. Hélène ferait bien quelque chose à trois pour se faire pardonner de cette nuit un peu bruyante pour toi. Je m’étouffais à moitié dans mon bol, puis me ressaisit. Moi, Hélène, j’en voulais bien, mais seul.. — Et toi, tu es d’accord ? Fis-je, interloqué.— Ben… pourquoi pas, ouais.— …— Tu sais..— Non, merci. Je..— ...
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